tag:blogger.com,1999:blog-19020884485620884452024-02-21T05:40:35.418+01:00Talking Wadel'actu ciné et DVD, avec un zeste de comics et de série téléWade Wilsonhttp://www.blogger.com/profile/11405121560537950316noreply@blogger.comBlogger264125tag:blogger.com,1999:blog-1902088448562088445.post-1566316806057669212011-03-28T22:57:00.005+02:002011-03-28T23:09:47.029+02:00CHIMICHANGA!Ca y est, Talking Wade, c'est fini! Ce fut une aventure captivante qui m'a énormément plu, et qui m'a permis de donner mon avis sur beaucoup d'oeuvres et de rencontrer des blogueurs passionnés comme moi!!! Mais la roue tourne, le temps change, les cheveux blancs poussent et les canards caquètent! C'est pour toutes ces raisons essentielles que je vous donne rendez-vous sur <a href="http://talkingwade.com/WordPress3/">talkingwade.com</a>, puisque Talking Wade vient de naître!!! A bientôt! WadeWade Wilsonhttp://www.blogger.com/profile/11405121560537950316noreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-1902088448562088445.post-66201856287141121442011-02-26T12:37:00.008+01:002011-02-26T13:02:15.503+01:00GERARDMER 2011, 23EME SEANCE: THE HUNTERS<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgGJOPzc2lROrKTsq5JFLXWxRL66_ycMGhwhNDoYr9myCFLlxNvYAluqMzy_vSIgu4o96-mZS19zcjmCoAiVvY1DMgrwcVEq7gowdcMhrGyOj2dMh3DgaiAUUkzl-3D_ecNXsz-m5puYwE/s1600/170801_153395451377326_109294525787419_321484_3436264_o.jpg"><img style="MARGIN: 0px 10px 10px 0px; WIDTH: 140px; FLOAT: left; HEIGHT: 198px; CURSOR: hand" id="BLOGGER_PHOTO_ID_5577966507602644258" border="0" alt="" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgGJOPzc2lROrKTsq5JFLXWxRL66_ycMGhwhNDoYr9myCFLlxNvYAluqMzy_vSIgu4o96-mZS19zcjmCoAiVvY1DMgrwcVEq7gowdcMhrGyOj2dMh3DgaiAUUkzl-3D_ecNXsz-m5puYwE/s320/170801_153395451377326_109294525787419_321484_3436264_o.jpg" /></a><br />Inédit<br /><div><br /><br /><br /><div>Drôle de mélange que ce film, tourné avec des acteurs américains et anglais par un réalisateur français dont c'est le premier film! Une volonté probable de faire croire que le film est américain, renforcée par le titre; ça peut s'avérer payant pour une distribution en DTV, sait-on jamais...<em><strong>Chris Briant</strong></em>, de son vrai nom <em><strong>Etienne Huet</strong></em>, se met lui-même en scène en agent du gouvernement chargé d'escorter un témoin important. Mais la mission ne se passera pas comme prévue, et il va se retrouver aux prises avec une bande de chasseurs bien décidé à lui régler son compte.</div><br /><div><strong>The Hunters</strong> n'est pas un film réussi, mais il contient pourtant quelques bonnes idées et des passages intéressants. Le lieu où se déroule la traque, un ancien fort militaire, possède une véritable atmosphère cinématographique, que Briant parvient à mettre en relief. Le gros problème, ce sont les personnages basiques et sans grande consistance, auxquels on a du mal à s'identifier; même le héros, joué par Briant donc, n'a rien de charismatique, ce qui atténue nettement l'impact du film.</div><br /><img style="TEXT-ALIGN: center; MARGIN: 0px auto 10px; WIDTH: 279px; DISPLAY: block; HEIGHT: 158px; CURSOR: hand" id="BLOGGER_PHOTO_ID_5577966412430241746" border="0" alt="" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjRLZPyP9EK10VfWq6jbxvESJnVBqOtVoCIDMl9CqJwJF9KWebdLuoqzKd385_Q0lFlYFKyFaxS0SVoF8RvyKfnfFeiWFOE8jYvIaQM-E77XHB6bZk-R-VRBdYCVB0pG6TR0FMk0HVzzI4/s320/The_hunters_photo3.jpg" /><br /><div><strong>The Hunters</strong> oscille entre un réalisme réussi et une fantaisie étrange, comme lorsque les personnages se tirent dessus pendant 5 minutes sans se toucher. On a affaire à des pros de la gâchette, et on se croirait dans le sympathique <strong>Kicked in the Head</strong> avec <em><strong>Linda Fiorentino</strong></em>, où les personnages passent leur temps à se tirer dessus à bout portant sans jamais se blesser! Sauf qu'il s'agissait d'une comédie, alors que <strong>The Hunters</strong> se veut un peu plus sérieux...</div><br /><div>Ce film aurait mérité un traitement plus approfondi, car Chris Briant parvient tout de même à donner corps à quelques séquences survival intéressantes...<br /></div><div></div><img style="TEXT-ALIGN: center; MARGIN: 0px auto 10px; WIDTH: 284px; DISPLAY: block; HEIGHT: 161px; CURSOR: hand" id="BLOGGER_PHOTO_ID_5577966325538843698" border="0" alt="" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEi6mv7-oJnGkg3OkyM9q4NJhsWqMa1Y9Ghsu3zlpoUgdYUN6K-5WOAOKbEMzj7uFSOdoMetGIOoKX1HVsKHFdNYdQtd9OwHzLlg1wj0Gr5oZl74Gd2RFEtLe2Ez213wbGoilnjbShjwJaA/s320/the_hunters_mb04.jpg" /><br /><div>Ca y est, le festival se termine sur ce film! Avec seulement 3 oeuvres qui sortent du lot, ça fait light tout de même pour un cru qui s'annonçait exceptionnel... Beaucoup de déceptions, des bons films dont on attendait plus, et quelques bouses bien sévères... A retenir donc, mon Grand Prix: <strong>J'ai rencontré le Diable</strong>, énorme!!! Mon Prix du Jury: <strong>The Troll Hunter</strong>! et mon 3ème Prix, allez, <strong>The loved Ones</strong>! Si vous avez l'occasion de les voir, n'hésitez pas! Bon, ben je crois que je vais me reposer 2-3 mois maintenant!!!</div></div>Wade Wilsonhttp://www.blogger.com/profile/11405121560537950316noreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-1902088448562088445.post-75062963678420920152011-02-25T18:32:00.005+01:002011-02-25T18:48:57.350+01:00GERARDMER 2011, 22EME SEANCE: PROIE<div><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEiNbkXZhYaj_rXMIpUa8CdQ0MwD2OM7fXv95m6a3JQpa6W0KmBUFwtUbwfdRVNmUgQfG3st58LglzJ9WhjYsBK-aB9c5fuT2xdMQ-6eXClXIW3_b7UrRLt7sCPbK6616TtaGdXq8K6Pujw/s1600/affiche_big.jpg"><img style="MARGIN: 0px 10px 10px 0px; WIDTH: 133px; FLOAT: left; HEIGHT: 186px; CURSOR: hand" id="BLOGGER_PHOTO_ID_5577685283834838770" border="0" alt="" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEiNbkXZhYaj_rXMIpUa8CdQ0MwD2OM7fXv95m6a3JQpa6W0KmBUFwtUbwfdRVNmUgQfG3st58LglzJ9WhjYsBK-aB9c5fuT2xdMQ-6eXClXIW3_b7UrRLt7sCPbK6616TtaGdXq8K6Pujw/s320/affiche_big.jpg" /></a><br /> Inédit<br /><div><br /><br /><br /><div>Cet ersatz de <strong>Razorback</strong> à la franchouillarde pose d'entrée de jeu des personnages irritants hérités d'un bon vieux téléfilm rural, avec lutte des classes et apanage de la richesse. Si l'aspect du survival forestier pouvait laisser espérer un petit aspect fun, il n'en est rien tant ce produit est mal ficelé. Il s'agit d'un premier film, on pourra donc reconnaître des circonstances atténuantes à <em><strong>Antoine Blossier</strong></em>, qui parviendra tout de même à nous concoter une scène pas dénuée de tension vers la fin, dans le refuge. Mais l'ensemble est trop hasardeux pour convaincre... Les bestioles ne sont pas flippantes pour un sou, et l'explication scientifique reste classique de ce genre de film sans aller plus loin... </div><br /><img style="TEXT-ALIGN: center; MARGIN: 0px auto 10px; WIDTH: 320px; DISPLAY: block; HEIGHT: 137px; CURSOR: hand" id="BLOGGER_PHOTO_ID_5577685197798541042" border="0" alt="" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgDdgGa0dWaPo-RSVF7SGaMNrUJ_WBhR2i1-SdXNWAuOShEtfFESAeZ2N09ZjqkSS65P7KuiC-XEZJfELz8YEubiJAw6wNwh1D9ee6jYZhWAchyJEdG6dpTWjjrJOL3BVzO_HOhvWBqVxY/s320/P2-600x255.jpg" /><br /><div>La relation beau-père beau-fils est dénuée de tout intérêt dramatique, et surtout comporte des éléments d'une banalité confondante. Même les acteurs semblent avoir du mal à croire à leurs rôles... Le rôle de <em><strong>Bérénice Bejo</strong></em> est totalement figuratif aussi, dommage... On reconnaîtra au passage quelques références amusantes, comme la transformation de <em><strong>Grégoire Colin</strong></em> qui cite celle d'<em><strong>Arnold Schwarzenneger</strong></em> dans le magnifique <strong>Predator</strong> de <strong><em>McTiernan</em></strong>! Mais Colin n'est pas Schwarzy... Du coup, la confrontation avec les bestiaux prend rapidement du plomb dans l'aile, et manque de crédibilité...</div><br /><div><strong>Proie</strong> manque cruellement de rythme et d'audace, en déroulant un récit pas assez dynamique. Une tentative avortée de survival français, encore... </div></div><br /><p><img style="TEXT-ALIGN: center; MARGIN: 0px auto 10px; WIDTH: 242px; DISPLAY: block; HEIGHT: 163px; CURSOR: hand" id="BLOGGER_PHOTO_ID_5577685106675053634" border="0" alt="" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjvxWmaC02cEqHBFrKAmhX6upjbjTgbZycIjOa8H7v0_0Rc6wdPl9KM_tCMsZYqMOBISdEUdGRzsusDM7gv57rcz0ow-2M9t1isJhP2yx_v2YZ7B62hPSqMW4Bu9QHF8tGLYZyorPJLGzo/s320/proie-1-4121924gjbtp_1798.jpg" /></p></div>Wade Wilsonhttp://www.blogger.com/profile/11405121560537950316noreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-1902088448562088445.post-23753375533286032792011-02-24T07:02:00.005+01:002011-02-24T07:19:58.032+01:00GERARDMER 2011, 21EME SEANCE: BLOOD ISLAND (BEDEVILLED)<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEibUY0eOj6AyvnAAClTUwEzspWUKXdDDir3_1pK_EWhzVnMy5vXFvNygUQJRu-24EI1_8VoM3PRjNb2srovw7FdLB2q8T-T0bgfPy17NAJcxAeRST2JvX7VSCt_mEoMd7A0aqf13xPagII/s1600/Bedevilled.bmp"><img style="MARGIN: 0px 10px 10px 0px; WIDTH: 154px; FLOAT: left; HEIGHT: 197px; CURSOR: hand" id="BLOGGER_PHOTO_ID_5577136291147521970" border="0" alt="" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEibUY0eOj6AyvnAAClTUwEzspWUKXdDDir3_1pK_EWhzVnMy5vXFvNygUQJRu-24EI1_8VoM3PRjNb2srovw7FdLB2q8T-T0bgfPy17NAJcxAeRST2JvX7VSCt_mEoMd7A0aqf13xPagII/s320/Bedevilled.bmp" /></a><br /><div>Sortie en DVD le 3 mai<br /><br /><br /><div>Difficile de juger <strong>Bedevilled</strong> objectivement, tant son <em><strong>Grand Prix</strong></em> n'était pas mérité. Là où un <em><strong>Festival du Film fantastique</strong></em> doit rendre hommage au genre, on se demande même pourquoi ce film a été sélectionné, lui qui n'y entre qu'à la toute fin du métrage... <strong>Bedevilled</strong> est un film social relatant les difficultés d'une femme brimée par tous, vivant sur une île avec une dizaine de personnes. La répétition des humiliations la pousse naturellement à bout, mais Dieu que c'est long!</div><br /><div>Le film de <em><strong>Chul-soo Yang</strong></em> est de bonne facture, et propose une mise en scène soignée; mais le schéma répétitif et manichéen (ils sont tous méchants avec elle, sans exception!) fait presque basculer le film dans le comique involontaire; mais le réalisateur parvient pourtant à conserver un peu l'intérêt du spectateur, même si le rythme lancinant s'avère fatal à la longue.</div><br /><img style="TEXT-ALIGN: center; MARGIN: 0px auto 10px; WIDTH: 239px; DISPLAY: block; HEIGHT: 155px; CURSOR: hand" id="BLOGGER_PHOTO_ID_5577136170226184802" border="0" alt="" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEiq4FGdRzLOWgmEFh91JjDnf_lSN7B5doL3JgYd0IRu0O_uyYrRd6LEGiAhZARBON1lSS13fV9s-TmEkpZGljD6EUkstu7VBq5oR_g6-Iu5DdTi6m0k9bhAsbmdF9Q-t-kwyFQQpaPQ0Kc/s320/bedevilled3.jpg" /><br /><div>On ne peut que comprendre l'explosion de violence finale, mais le film aurait largement pu être amputé d'un bon tiers, il aurait gagné en efficacité... Le réveil de la bête s'avère pourtant efficace, avec une violence graphique et des touches d'humour bien dosées. Le film se révèle sur le tard, ce qui est tout de même dommage, car le réalisateur nous prouve toute son efficacité après avoir traîné son récit... <strong>Bedevilled</strong> ne méritait pas ce <em><strong>Grand Prix</strong></em>, et le génial <strong>J'ai rencontré le Diable,</strong> l'étonnant <strong>The loved Ones</strong> ou le très drôle <strong>The Troll Hunter</strong> auraient fait de bien meilleurs lauréats!</div></div><br /><p><img style="TEXT-ALIGN: center; MARGIN: 0px auto 10px; WIDTH: 278px; DISPLAY: block; HEIGHT: 131px; CURSOR: hand" id="BLOGGER_PHOTO_ID_5577136068938590130" border="0" alt="" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEipZLMoiiqvSSI2RlFqZyW9ZvRixjZ6GwCXQowVo__kgynC9rO58pbkG9g1_8bR3lzgjm1AhDWjr9QARTRxCF4ZxZMsHOJtHyAu3NjICqzBY2tF6VUmYwGQC9HHV1NVeR6BQhTsUoGDqco/s320/bedevilled-de-jang-cheol-so-4487423kirbi_1731.jpg" /></p>Wade Wilsonhttp://www.blogger.com/profile/11405121560537950316noreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-1902088448562088445.post-79666661619653045812011-02-23T07:02:00.008+01:002011-02-23T07:19:44.812+01:00MARVEL SAGA 9: LA GUERRE DE FATALIS<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjL9ftsoTuJpVU40ueZHwUsfpE6nuIlmkD02WWoZngA6S2nVubGeKPmjh3-zKbYs0JPjYc7d5VU8CqwNRHyjnICiuVYswXOM48FGFW4Y65ra7rWrTCnMHvInWz0AXE08yaHZJwfyzewop8/s1600/parutions_marvel-saga-9--la-guerre-de-fatalis_1295805320.jpg"><img style="MARGIN: 0px 10px 10px 0px; WIDTH: 151px; FLOAT: left; HEIGHT: 230px; CURSOR: hand" id="BLOGGER_PHOTO_ID_5576765262526221506" border="0" alt="" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjL9ftsoTuJpVU40ueZHwUsfpE6nuIlmkD02WWoZngA6S2nVubGeKPmjh3-zKbYs0JPjYc7d5VU8CqwNRHyjnICiuVYswXOM48FGFW4Y65ra7rWrTCnMHvInWz0AXE08yaHZJwfyzewop8/s320/parutions_marvel-saga-9--la-guerre-de-fatalis_1295805320.jpg" /></a><br /><div>Sorti le 15 février<br /><br /><div><br /><br /><br /><div><em><strong>Gérardmer 2011</strong></em>, ce n'est pas encore terminé! Dernière déviation par rapport au compte-rendu du <em><strong>Festival du Film fantastique</strong></em>, avec ce <em><strong>Marvel Saga 9</strong></em> qui nous présente la mini-série <strong><em>La Guerre de Fatalis</em></strong>.</div><br /><br /><br /><div>Ce récit voit le souverain de <em><strong>Latvérie </strong></em>mettre à mal le <em><strong>Wakanda</strong></em> afin de prendre possession de son stock de vibranium. Rien de bien nouveau dans cette histoire de <em><strong>John Maberry</strong></em>, avec une énième confrontation entre <em><strong>Fatalis </strong></em>et <em><strong>les 4 Fantastiques</strong></em>, alliés aux<em><strong> X-Men</strong></em> et à <em><strong>la Panthère noire.</strong></em> L'ensemble est d'une platitude confondante, et aucun personnage ne sort du lot tant ils s'avèrent interchangeables. Aucun, vraiment?</div><br /><img style="TEXT-ALIGN: center; MARGIN: 0px auto 10px; WIDTH: 156px; DISPLAY: block; HEIGHT: 236px; CURSOR: hand" id="BLOGGER_PHOTO_ID_5576765171988287538" border="0" alt="" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjuI4L6DngqiJ89NFwycFg_-ZhG6Mn1_NHzAdT_jUY2_4XCl2oHOFFWAjrshsBixOgLgN6gj5BjnyB9cVzjcQMUSFDNucuQJZzdpd5KREkUSieHJyyA5xOdOGt5Pit1dKr0eWzzAZZIoz0/s320/doomwar005_dc11_lr_0001.jpg" /><br /><div>C'est à la fin de l'épisode 4 (le récit est en 6 parties) qu'un élément perturbateur et salvateur va faire son apparition. Il s'agit évidemment de<em><strong> Deadpool</strong></em> qui va remuer un peu tout ça en apportant une (légère) touche de folie. Maberry soigne son entrée très référentielle, et en profite pour faire de <em><strong>Wade</strong></em> un personnage très utile dans cette histoire.</div><br /><div>Le dessin de <strong><em>Scott Eaton</em></strong> est franchement beau, avec ses jeux d'ombres et sa texture dense (rien à voir avec la couverture anti-commerciale au possible!). On suit donc <em><strong>T'Challa</strong></em>, qui n'est plus <strong><em>la Panthère noire</em></strong>, aidé par sa soeur qui a repris le flambeau, et on assiste à des combats sans intérêt face aux hordes de Fatalis. Du vu, revu et réchauffé , dans lequel seules les apparitions de Deadpool apportent un semblant de relief... Vivement le mois prochain et la sortie du magazine qui lui est consacré!!!</div></div></div><br /><p><img style="TEXT-ALIGN: center; MARGIN: 0px auto 10px; WIDTH: 155px; DISPLAY: block; HEIGHT: 236px; CURSOR: hand" id="BLOGGER_PHOTO_ID_5576765087112278594" border="0" alt="" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjzys5JVrww_qPS5RujOBnaT1d5mYYDpCkaykiRgYWsyukwrCth-8U6r5l9KittXeljHdl07_7t5Gor8aAx3G1wVA0Xj7aITiB6yXMiAu7b7KVS8dUabWKbNf4Ujr_ZfxA3gVpEgHgj5qM/s320/doomwar_4_02.jpg" /></p>Wade Wilsonhttp://www.blogger.com/profile/11405121560537950316noreply@blogger.com3tag:blogger.com,1999:blog-1902088448562088445.post-28950189603495823122011-02-22T07:32:00.008+01:002011-02-22T07:54:27.150+01:00GERARDMER 2011, 20EME SEANCE: L'EMPIRE DES OMBRES<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhfeJuMNuYUD_dwqyL2I00zsibm33Rpm0Hsa1A0o4VE7H2EoL4KNHV7v6G8gFePD4vrI3LHV_hxo52tHF-GVXd8GzvAAL-rwCUU5G6MBYWuBTs6dMrXy2emeIskezlE0jhOhhoDxTQipqM/s1600/affiche2.jpg"><img style="MARGIN: 0px 10px 10px 0px; WIDTH: 144px; FLOAT: left; HEIGHT: 214px; CURSOR: hand" id="BLOGGER_PHOTO_ID_5576402820182777890" border="0" alt="" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhfeJuMNuYUD_dwqyL2I00zsibm33Rpm0Hsa1A0o4VE7H2EoL4KNHV7v6G8gFePD4vrI3LHV_hxo52tHF-GVXd8GzvAAL-rwCUU5G6MBYWuBTs6dMrXy2emeIskezlE0jhOhhoDxTQipqM/s320/affiche2.jpg" /></a><br /><div><div><div>Inédit<br /><br /><br /><br /><div>Il fut un temps où un film de <em><strong>Brad Anderson</strong></em> créait l'événement, mais l'époque de <strong>Session 9</strong> est bien loin! Le voir aux commandes d'un film horrifique hollywoodien avait de quoi faire saliver, mais il faut se rendre à l'évidence qu'il n'y a rien à sauver du tout dans cet <strong>Empire des Ombres</strong>...</div><br /><br /><div>Pourtant, l'entame du film est prometteuse, avec ces gens qui disparaîssent soudainement en ne laissant derrière eux que leurs vêtements et leurs objets. On se croirait en plein jeu vidéo (<em><strong>Alan Wake</strong></em>?) avec une imagerie inquiétante et un sens de la mise en scène évident. Mais passé le premier moment d'effroi, on ne le sait pas encore, mais le film est déjà terminé. Il n'y aura plus de tension palpable, plus de crainte pour les "héros". Il faut dire que le miscasting est énorme...</div><br /><img style="TEXT-ALIGN: center; MARGIN: 0px auto 10px; WIDTH: 260px; DISPLAY: block; HEIGHT: 173px; CURSOR: hand" id="BLOGGER_PHOTO_ID_5576402715947461138" border="0" alt="" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjSfEtZWKI7BW-QHZ1TEdXjCw5A70nfF4yBTPbys0ES4uJQL9NhyUA9QOlr1Fbk07bPcL90KO2Zg7AI5QUMlHYYvsBHw8-hFeSt666mHSS6E8WC96SPxxvEEwDv6CPzIuYld5H7wJQLpAw/s320/vanishing-on-7th-street-2010-19238-802201347.jpg" /><br /><div><em><strong>Hayden Christensen</strong></em> en premier rôle, ça rappelle de mauvais souvenirs comme <strong>Jumper</strong>... Et quand il se prénomme <strong><em>Luke</em></strong>, ça n'arrange pas les choses... Son manque de charisme est évident, et celui de ses compagnons de jeu également; <em><strong>Thandie Newton</strong></em>, qui joue une <em><strong>Rosemary</strong></em> qui cherche évidemment son bébé...) est transparente, et <em><strong>John Leguizamo</strong></em> ne s'en sort pas mieux... Ils ne sont pas aidés par des personnages lisses au possible, mais ne leur apportent rien de plus, pas la moindre once d'émotion...</div><br /><img style="TEXT-ALIGN: center; MARGIN: 0px auto 10px; WIDTH: 306px; DISPLAY: block; HEIGHT: 129px; CURSOR: hand" id="BLOGGER_PHOTO_ID_5576402591839714194" border="0" alt="" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgODqV067YuMNLdvtKZM7iHzTaqyEZ4R8yvDZYdrWOI3o0Ir7c08g0Cz28NCIKuCyPa90VqKg7A9YG8e-x0yzViMMp8hZOIlNzAXZ98lgbb-udHUOesgIARmhpRivBPHSlGEeHoE19wfzA/s320/vanishing-on-7th-street-movie-photo-04.jpg" /> Basé sur un principe on ne peut plus simple (je ne spoilerai pas!), <strong>L'Empire des Ombres</strong> ne l'utilise pas de manière efficace, et pire, s'y soustrait parfois en l'absence de toute logique. Le scénario d'<em><strong>Anthony</strong></em> <em><strong>Jaswinski </strong></em>est complètement creux et aseptisé. Et la mise en scène d'Anderson est désespérément plate, un comble pour un réalisateur de cette trempe!<br /><div><strong></strong></div><div><strong>L'Empire des Ombres</strong> est probablement un film de commande, que le réalisateur n'aura pas transcendé du tout...</div></div><br /><p><img style="TEXT-ALIGN: center; MARGIN: 0px auto 10px; WIDTH: 243px; DISPLAY: block; HEIGHT: 162px; CURSOR: hand" id="BLOGGER_PHOTO_ID_5576402427297611618" border="0" alt="" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEj5YwPYxc13fo48ImwgUpuX42sQaSMDbPZgfwJidg0UW2e3DxRg03So6n6OV_VR50PLTLqGkQ2HdfuVsZBBy_fNgWnFlHQR8PGxVOl0JkEGWB4oirfPLyuIe1ko39VW2GeRo0VhJTR6u5s/s320/vanishing-on-seventh-street-1.jpg" /></p></div></div>Wade Wilsonhttp://www.blogger.com/profile/11405121560537950316noreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-1902088448562088445.post-71125236217360566882011-02-21T12:23:00.005+01:002011-02-21T12:44:19.966+01:00GERARDMER 2011, 19EME SEANCE: TERREUR<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhLsbhFnhw4ULdaZljQ7cIucbX_YubQmeEtqRC9MPdh-50ZZGc2dIje_IO1sllqtc8nKk28rUElPNU9l4zHvIy2cEnU0jQ0b4VrlC1P700DbCLnPUnJuY_2I5r60BL6q2C9hRwyx7uUhYA/s1600/Dread_poster.jpg"><img style="MARGIN: 0px 10px 10px 0px; WIDTH: 131px; FLOAT: left; HEIGHT: 196px; CURSOR: hand" id="BLOGGER_PHOTO_ID_5576106963323562690" border="0" alt="" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhLsbhFnhw4ULdaZljQ7cIucbX_YubQmeEtqRC9MPdh-50ZZGc2dIje_IO1sllqtc8nKk28rUElPNU9l4zHvIy2cEnU0jQ0b4VrlC1P700DbCLnPUnJuY_2I5r60BL6q2C9hRwyx7uUhYA/s320/Dread_poster.jpg" /></a><br /><div> Sortie en DVD le 1er mars<br /><br /><div><br /><br /><br /><div><strong>Terreur,</strong> connu sous le nom de <strong>Dread</strong>, est un film qui a une petite réputation, et qui au final s'avère un produit bavard interminable. Il ne se passe rien dans ce film pendant sa quasi-totalité, et hop, à la fin, on vous balance un peu de torture-porn pour faire bonne mesure. </div><br /><br /><div>Le spécialiste de <em><strong>Clive Barker</strong></em> <em><strong>Anthony DiBlasi</strong></em> (il a produit <strong>Le Fléau selon Clive Barker</strong>, <strong>Midnight Meat Train</strong>, <strong>Book of Blood</strong>, et va s'occuper de <strong>Tortured Souls: Animae damnatae </strong>et le prochain <strong>Hellraiser</strong>) adapte le récit <em><strong>Dread</strong></em> de son maître, qui voit 3 jeunes enquêter sur les peurs profondes des gens, et qui vont être dépassés par l'expérience. Sauf que le traitement mou du film est un sacré frein à l'angoisse, et que l'on décroche très vite face à ces histoires répétitives. </div><br /><img style="TEXT-ALIGN: center; MARGIN: 0px auto 10px; WIDTH: 239px; DISPLAY: block; HEIGHT: 160px; CURSOR: hand" id="BLOGGER_PHOTO_ID_5576106881170466066" border="0" alt="" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEi1rMvqY7UEr7tb_MsC3H9zrbcjP3pGrWQvN7mxcNzNBLAOAta_dKQUUTtXzobxG1uQ6fegEsUUbz6CXkJlbT38Lem5RxeVS4Y4C86FlxcZs96kP2LkBiISe_08PFOUuVZJihshRCCUmpw/s320/19225205_jpg-r_760_x-f_jpg-q_x-20100113_054444.jpg" /> Les personnages sont sans relief, et celui qui apparaît comme le plus jusqu'au-boutiste est simplement très con... Du coup, tout le déroulement du film souffre d'une absence de justification, et on le regarde avancer sans trop savoir où ça va mener. Et la fn s'avère simplement gratuite, présentant une séquence voyeuriste au possible et sans le moindre intérêt. Ca en devient ridicule, et au final, difficile de trouver un sens à ce film...<br /><br /><div>On peut noter la propension aux taches de naissances cette année, puisqu'une des héroïnes du film en possède une sur tout le corps qui lui cause bien des problèmes; c'est également le cas du héros d'<strong>Heartless</strong>, dont la tache de naissance court aussi du visage sur tout le corps. Petite coïncidence sympa, mais les deux films s'avèrent ennuyeux!</div></div><br /><p><img style="TEXT-ALIGN: center; MARGIN: 0px auto 10px; WIDTH: 239px; DISPLAY: block; HEIGHT: 143px; CURSOR: hand" id="BLOGGER_PHOTO_ID_5576106774271151042" border="0" alt="" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhbZIqoTFW1A8CL-OqvxmZ5ZBBNDZEBUB1qBpI5FGjliUdXO_ca4K8msjWzQJQFawPRoSfz_UC9Qgg_o_6UYYDIp3QocnWWRHvzXuRWUgf_Qff7LI0ye568qxKPFv38e3mujmx3lwm1K1w/s320/4qc4yy10.jpg" /></p></div>Wade Wilsonhttp://www.blogger.com/profile/11405121560537950316noreply@blogger.com1tag:blogger.com,1999:blog-1902088448562088445.post-74642429846279158952011-02-20T10:58:00.006+01:002011-02-20T11:24:11.335+01:00GERARDMER 2011, 18EME SEANCE: THE LOVED ONES<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgoX6ViX130wtqlGIiY9ZuudBG0PjE3gBZmjo1dVJ6iHA5ViU-twSkeYfdEhmhFqeuHvpGbedtTS_NfgsbMeJ0UFqVAoMbWWfRLD5PJQCi7-xlGKPKrqfwaLwG3TnQ-yVUTNtPY_wfqHj0/s1600/The-Loved-Ones-Affiche-USA-1.jpg"><img style="MARGIN: 0px 10px 10px 0px; WIDTH: 152px; FLOAT: left; HEIGHT: 216px; CURSOR: hand" id="BLOGGER_PHOTO_ID_5575715076897845810" border="0" alt="" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgoX6ViX130wtqlGIiY9ZuudBG0PjE3gBZmjo1dVJ6iHA5ViU-twSkeYfdEhmhFqeuHvpGbedtTS_NfgsbMeJ0UFqVAoMbWWfRLD5PJQCi7-xlGKPKrqfwaLwG3TnQ-yVUTNtPY_wfqHj0/s320/The-Loved-Ones-Affiche-USA-1.jpg" /></a><br /> Inédit<br /><div><div><div><br /><br /><br /><br /><div>L'Australie, ce n'est pas seulement la patrie de <em><strong>Mick Dundee</strong></em>, et il va falloir compter dorénavant sur <em><strong>Sean Byrne</strong></em> dont le premier long mérite largement son <em><strong>Prix du Jury</strong></em> (à l'inverse de <strong>Ne nous jugez pas</strong>, vainqueur ex-aequo qui ne lui arrive pas à la 1ère phalange du petit orteil). Ce teen movie qui bascule en torture porn possède l'essentiel de chaque genre, et s'en démarque par une écriture originale et un ton décalé.</div><br /><div>Le réalisateur signe lui-même le scénario de ce film qui met en lumière les affres et la cruauté de l'adolescence sans en devenir pathétique ou gonflant. Les enjeux amoureux de cette période charnière sont parfaitement décrits, et, après avoir intégré cette notion essentielle de son récit, Sean Byrne va rapidement passer à la suite, plus hard, de son métrage.</div><div> </div><img style="TEXT-ALIGN: center; MARGIN: 0px auto 10px; WIDTH: 268px; DISPLAY: block; HEIGHT: 180px; CURSOR: hand" id="BLOGGER_PHOTO_ID_5575714990711508946" border="0" alt="" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhi0SiejKDmEg6ONqVJORybX0j_wMi6JnrgcJE25iclhP0E5hJ7CtklfCW1kfkz574EqQRltIxlt5RfyOebIIJnHdGfiu5U0X15KxvO7CR_ok7zQTuU8UhvoRAnG-NgafzXSjIlXCJqDlg/s320/the_loved_ones_9.jpg" />Quand <em><strong>Brent </strong></em>décline poliment l'invitation de<strong><em> Lola</em></strong> au bal de fin d'année, il ne s'attend pas à être séquestré par elle et son père! C'est pourtant le cauchemar qu'il va vivre, entouré de ces 2 personnes dévastées qui ont reconsitué la décoration et l'ambiance du bal de promo chez eux, afin d'apporter un peu de reconnaissance à la "pauvre" Lola...<br /><br /><div>Sean Byrne manipule ce matériau difficile avec l'aisance d'un metteur en scène chevronné, bien qu'il n'ait à son actif qu'une poignée de courts métrages! Ce sens de la précision couplé à des notes d'humour étonnantes font de<strong> The loved Ones</strong> une oeuvre aux antipodes d'un torture porn gratuit, en s'intéressant réellement à ses personnages et en leur offrant une consistance certaine. Sean Byrne crée un film dense dans lequel les émotions contradictoires s'entrechoquent, et où l'angoisse et l'absurde se nourrissent mutuellement.</div><br /><img style="TEXT-ALIGN: center; MARGIN: 0px auto 10px; WIDTH: 162px; DISPLAY: block; HEIGHT: 230px; CURSOR: hand" id="BLOGGER_PHOTO_ID_5575714889877072786" border="0" alt="" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEj_Sl-ChBBGjR8ZAwMreFdjpbWv4KFW2eH7SbWZ1cSkpB6AWuPa4MNRquqtvWwHHA9NAOUgNPQliaTLGO3aZSwyzIL6q1k14leslRVhU3iOD5zoZY71ZlrwyIjsqETjXu9fO5WbShv3uSg/s320/the-loved-ones-2.png" />Un degré de qualité réellement étonnant pour un premier film, doublé d'une vision fraîche d'une adolescence perdue. <strong>The loved Ones</strong> est une oeuvre étonnante, maîtrisée de bout en bout et portée pr des acteurs exceptionnels; <em><strong>Robin McLeavy</strong></em> en tête avec son personnage de jeune fille fragile qui se transforme en furie, et<strong><em> Xavier Samuel</em></strong> qui apporte un grand réalisme à son Brent torturé.<br /><br /><div>Coloré, sanglant, drôle et violent, <strong>The loved Ones</strong> est une proposition de cinéma au ton original qui devrait ravir les amateurs de films d'angoisse. A découvrir impérativement!</div></div><br /><p><img style="TEXT-ALIGN: center; MARGIN: 0px auto 10px; WIDTH: 258px; DISPLAY: block; HEIGHT: 173px; CURSOR: hand" id="BLOGGER_PHOTO_ID_5575714752682894642" border="0" alt="" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgYSoNsglihJlXSFzelWT00SErRzk9wEtMhZAgIjmi6VSudW7BI0eyofMGiarR6PB8ZsIGeq5Y4gEfIdz6JRZRtYxiwoqx2d_8QMsKKhyqlq_wrtdvyjTOeZ6noEaqSK3HGmzsMXfQnauM/s320/The_Loved_Ones_01-1024x685.jpg" /></p></div></div>Wade Wilsonhttp://www.blogger.com/profile/11405121560537950316noreply@blogger.com2tag:blogger.com,1999:blog-1902088448562088445.post-14108134355928129012011-02-19T12:32:00.011+01:002011-02-27T15:43:18.725+01:00GERARDMER 2011, 17EME SEANCE: J'AI RENCONTRE LE DIABLE<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjDWAmRBmHAiPGLUingsV5e_WVemDeDwP96RBq4HU_WOK5RIJsTBMo91JVMTqU4b2Hwt3kN0x45gzSCaSzz8_GY7KHF8WQ0fA4JgnraOgAqLj0zEo4pdDD1atR4x_3ycTUhJBVl29rMxOw/s1600/J-ai_rencontre_le_diable_affiche.jpg"><img style="MARGIN: 0px 10px 10px 0px; WIDTH: 135px; FLOAT: left; HEIGHT: 184px; CURSOR: hand" id="BLOGGER_PHOTO_ID_5575370064820075618" border="0" alt="" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjDWAmRBmHAiPGLUingsV5e_WVemDeDwP96RBq4HU_WOK5RIJsTBMo91JVMTqU4b2Hwt3kN0x45gzSCaSzz8_GY7KHF8WQ0fA4JgnraOgAqLj0zEo4pdDD1atR4x_3ycTUhJBVl29rMxOw/s320/J-ai_rencontre_le_diable_affiche.jpg" /></a><br /><div><div><div><div><div> Sortie le 6 juillet<br /><br /><br /><div>Je ne suis pas un adepte du cinéma asiatique, même si ce continent nous offre parfois de belles petites surprises. Mais là, avec le Coréen <strong>J'ai rencontré le Diable</strong>, on atteint un sommet rarement égalé dans le polar, et on en profite pour sortir la bombe du festival!!! Le public ne s'y est pas trompé, puisque le film a obtenu le <em><strong>Prix du Public</strong></em> donc, mais également le <em><strong>Prix du Jury Jeunes</strong></em>; et il a également obtenu le <em><strong>Prix du Jury</strong></em>! <strong>J'ai rencontré le Diable</strong> est un film parfait, jusqu'au-boutiste, cru, violent, et drôle!</div><br /><img style="TEXT-ALIGN: center; MARGIN: 0px auto 10px; WIDTH: 245px; DISPLAY: block; HEIGHT: 164px; CURSOR: hand" id="BLOGGER_PHOTO_ID_5575369976266556514" border="0" alt="" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgZlkTsgVa_IXLCH5VuAqOTPZtyQk7okEFXdWcBZTVeyiFEyq0uztC_FHqGJqr5cSO0K1-RTODwrpZPSKVrUzkDAwxhBbrZFbouLeJgc190PG4__yjvVSzA6_RbVvGKdV0UdItY7eiyn7g/s320/116919I_saw_the_devil.jpg" />Pourtant, l'hisotire de cet agent secret qui se lance aux trousses du serial killer ayant assassiné sa femme sonne davantage comme une redite dans le paysage du polar coréen. Mais <em><strong>Kim Jee-Woon (</strong></em>qui avait gagné à <em><strong>Gérardmer </strong></em>en 2003 avec <strong>2 Soeurs</strong>) se sert de cette structure dépouillée pour y intégrer une dynamique jamais vue dans un tel film. <strong>J'ai rencontré le Diable</strong> est une pièce unique, façonnée par l'expérience d'<strong>A</strong> <strong>bittersweet Life</strong> et <strong>Le Bon, la Brute et le Cinglé</strong>, possédant la force d'une oeuvre séminale. <strong>J'ai rencontré le Diable</strong> est la quintessence du film de vengeance, car il joue avec les conventions et les codes du genre, pour en tirer une substance jouissive et choquante à la précision redoutable.<br /><br /><div>La caractérisation des personnages obéit aussi à cette loi séminale, <em><strong>Kim</strong></em> (<em><strong>Lee Byung-hun</strong></em>) devenant le vengeur littéral, et<em><strong> Kyung-chul</strong></em> (le<em><strong> Choi Min-sik</strong></em> d'<strong>Old</strong> <strong>Boy</strong>) le serial killer pourri par excellence. Deux figures archétypales, antagonistes parfaits, qui vont être transcendé par leurs motivations profondes et la libération de leur pulsions. Le scénario d'<em><strong>Hoon-jung. Park</strong></em> (il s'agit de son galop d'essai!!!) s'avère parfait; pas d'explications outrancières, pas de dialogues superflus, mais un sens de la coupe impressionnant, et une capacité à donner vie à ces deux personnages avec une crédibilité désarmante.</div><br /><img style="TEXT-ALIGN: center; MARGIN: 0px auto 10px; WIDTH: 273px; DISPLAY: block; HEIGHT: 183px; CURSOR: hand" id="BLOGGER_PHOTO_ID_5575369845953644322" border="0" alt="" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhgsH25FTpFpHVgQii-IeaoZbUfln_pmFKStRcwmxGCRJFORi6Va8oQ7ldG0pTGHRQZpnVin5c_CtuIQEpY-u6oBvoSWRHpfHQrXgFjXEq7h3oJJmtYSHPD1QfvBl8IBNQPggNxPeQ3RhQ/s320/19637308_jpg-r_760_x-f_jpg-q_x-20110113_052802.jpg" /><strong>J'ai rencontré le Diable</strong> n'est pas une analyse de la lutte entre les deux hommes, mais le regard reste à tout moment frontal, pour une vision plus immersive que clinique. Pas de détachement chez Kim Jee-woon, qui nous entraîne pendant 2h30 (qu'est-ce que c'est court!!!) dans le sillage de ces deux ennemis parfaits. <strong>J'ai rencontré le Diable</strong> est violent, choquant, sanglant. Mais dans cette accumulation de violence, se cache toujours un sens, qui ressort grâce à la motivation initiale vengeresse. Laquelle n'est pas simplement faite de bruit et de fureur, mais d'un mélange de folie et de calcul glacial. C'est dans cet équilibre hallucinant que <strong>J'ai rencontré le Diable </strong>devient le chef-d'oeuvre qu'il ne peut s'empêcher d'être. A aucun moment, le film ne dérive vers le torture porn gratuit, ni vers la guimauve sentimentale. Kim Jee-woon parvient à conserver sa vision jusqu'au bout, faisant de ce thriller une oeuvre de toute beauté.<br /><br /><img style="TEXT-ALIGN: center; MARGIN: 0px auto 10px; WIDTH: 286px; DISPLAY: block; HEIGHT: 162px; CURSOR: hand" id="BLOGGER_PHOTO_ID_5575369539706726082" border="0" alt="" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjZChCRc9eYTAGjRdlSkkaUSakoGN1LPmYEw_UAvejvjj5FVk0tsvnd0QplrnApqvb0j85hka49bVpCrFLsVWIHqE9b-INsQfRKvShTqCXjDHFtHpOo93b72qJ3ATFc_Au8KC9ldRQ_quw/s320/isawthedevil2010720phdr.jpg" />La force de caractère d'un tel film ne se répète que rarement, surtout avec une telle maîtrise scénaristique. L'absurdité de certaines sscènes nous pousse à des éclats de rire d'une telle soudaineté que l'on est encore surpris après avoir ri pendant trois minutes sans pouvoir s'arrêter!<br /><br /><div><strong>J'ai rencontré le Diable</strong> est d'une précision incroyable, tant dans la finesse de l'écriture que dans la mise en scène magnifiée de Kim Jee-woon, qui élève ce combat mortel en oeuvre indispensable, porté par deux acteurs exceptionnels!!!</div></div><p><img style="TEXT-ALIGN: center; MARGIN: 0px auto 10px; WIDTH: 243px; DISPLAY: block; HEIGHT: 162px; CURSOR: hand" id="BLOGGER_PHOTO_ID_5575369341355875586" border="0" alt="" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEiu7mf2ao5ss1QMDT9q3NhPIZYLhq_VBcvk2jn2PyvIOoDqXMg3FM6hPlWpF-Pun7L4oS7YhTdLixQUZzx4TKy1jXbHSJ-vG5xyWP0zrjWHUcNhiRZRnArOzwXkrd7ixezvzihkLhjxzjI/s320/19637307_jpg-r_760_x-f_jpg-q_x-20110113_052801.jpg" /></p></div></div></div></div>Wade Wilsonhttp://www.blogger.com/profile/11405121560537950316noreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-1902088448562088445.post-90819294876793045322011-02-18T18:18:00.009+01:002011-02-18T18:41:08.054+01:00GERARDMER 2011, 16EME SEANCE: THE SILENT HOUSE<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhyRF6_aOxugl94TxTbaRHXmpPDt0QVWY46ZZjDIunfH1HjaaXcot-0WJSkujhDA4yzyoj9a3uAhgGeWmaVS_O7lDxkrc04YVuXQWqMeRY9i2y575aK433g0GEk0np0uraFdSUmfFyu_mU/s1600/The_Silent_House_affiche.jpg"><img style="MARGIN: 0px 10px 10px 0px; WIDTH: 152px; FLOAT: left; HEIGHT: 202px; CURSOR: hand" id="BLOGGER_PHOTO_ID_5575085272593071458" border="0" alt="" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhyRF6_aOxugl94TxTbaRHXmpPDt0QVWY46ZZjDIunfH1HjaaXcot-0WJSkujhDA4yzyoj9a3uAhgGeWmaVS_O7lDxkrc04YVuXQWqMeRY9i2y575aK433g0GEk0np0uraFdSUmfFyu_mU/s320/The_Silent_House_affiche.jpg" /></a><br /><div><div>Sortie le 16 mars<br /><div><br /><div><br /></div><div>L'argument relativement casse-gueule de <strong>The silent House</strong> consiste en un plan-séquence de 72 minutes où l'on va suivre une jeune femme dans une maison isolée, alors q'une présence menaçante se cache dans les murs... Ce premier film uruguayen de <em><strong>Gustavo Hernandez</strong></em> repose sur un concept qui peut faire peur, mais régulièrement tenté par certains cinéastes motivés, l'exemple le plus célèbre étant <strong>La Corde</strong> d'<em><strong>Alfred</strong></em> <em><strong>Hitchcock.</strong></em></div><div><br /></div><em><strong><img style="TEXT-ALIGN: center; MARGIN: 0px auto 10px; WIDTH: 270px; DISPLAY: block; HEIGHT: 152px; CURSOR: hand" id="BLOGGER_PHOTO_ID_5575084491499668562" border="0" alt="" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjQt0Dan3Yia-jfPY43dh3kITR3vRk7hW8stghFpKeQd7MH6hNgwjimAaEJsc2X4PivgmkU29_zhG1yqQ8GZMhH_WPZ0cXzQfDcPRzGEWWhUd8o-J-HZNCCscKyVSp3bne014BMWxcInDA/s320/silent-house.jpg" /></strong></em><br /><div>Techniquement, <strong>The silent House</strong> est de très bonne facture, même s'il est coupé à plusieurs reprises. La mention même de montage au générique est claire... Mais Hernandez dispose d'une image réellement belle dans laquelle il va pouvoir introduire un climat angoissant. Et c'est là que l'écriture du film pêche, car les trois auteurs mettent sur pied un récit redondant tout en s'éloignant de la moindre crédibilité. Concrètement, si vous entendez des bruits à l'étage au-dessus et qu'une personne meurt, vous ne passez pas 1h30 à vous balader de pièce en pièce en regardant tous les objets, si? Et quand enfin vous sortez, ce n'est pas pour revenir dans la bicoque au bout de 5 minutes, non? C'est là que réside la grosse limite de ce film, par ailleurs formellement réussi. On ne croit pas une seconde à ce qui peut se passer dans cette maison, à cause de cet aspect répétitif et de cette absence pure et simple de logique. </div><br /><img style="TEXT-ALIGN: center; MARGIN: 0px auto 10px; WIDTH: 314px; DISPLAY: block; HEIGHT: 171px; CURSOR: hand" id="BLOGGER_PHOTO_ID_5575084381221856418" border="0" alt="" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhTs13nczimt6opxQkwxpW1ch3xBXKcpf-drxVo6pRnvF6WWoacZEn3WSMwEvrdP75taG_6bqiWZpjmdbPr7HT3vL-yUei1k9lSeVZqzdXM6iO4JLXQOsTTZEpHEFi-ZP__qVH_puY8YBI/s320/THE%252520SILENT%252520HOUSE%252520PHOTO2.jpg" /> Et c'est bien dommage, car Gustavo Hernandez est capable de mettre en place une atmosphère bien stressante avec ses jeux de lumière et son travail sur le son...Mais de là à rire, à parler et à se lever pendant la séance, cela démontre à quel point le public de Gérardmer est de plus en plus détestable et irrespectueux. Qui plus est quand l'actrice principale participe à la séance, je me demande comment elle a pris ça, la pauvre...</div><div><br /><img style="TEXT-ALIGN: center; MARGIN: 0px auto 10px; WIDTH: 160px; DISPLAY: block; HEIGHT: 241px; CURSOR: hand" id="BLOGGER_PHOTO_ID_5575084257842701698" border="0" alt="" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgoXv-g12TikudDhxUMH6CwgXDZ1Pn_KY_HzkLjjljnANn63m4fO9zJhBRfs5HhSe5T2Utjalp24Xg_KHeokaKw8Ef4PY-9Qyr3tXwp5f6ugQfv9xbmuiWYIUSzYO5g073IOAIL4YCxkoQ/s320/the-silent-house-2011-20958-313243555.jpg" /></div></div></div>Wade Wilsonhttp://www.blogger.com/profile/11405121560537950316noreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-1902088448562088445.post-17405962770865474942011-02-17T18:16:00.007+01:002011-02-17T18:41:15.552+01:00GERARDMER 2011, 15EME SEANCE: HYBRID<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEh4YE3n4y-846_A4vCy9lTiEPA-H6sbwD8jh_5HVNyqIKL21nzPoqlIMx7-hXvRXIQQK6Z94kK-LokBmjwAlpmQHz-SEbtZ-0UIvQkT2d_iPJY1qa8gygSf7EML-tTSploSqKZpnzwD1aw/s1600/3346.jpg"><img style="MARGIN: 0px 10px 10px 0px; WIDTH: 131px; FLOAT: left; HEIGHT: 192px; CURSOR: hand" id="BLOGGER_PHOTO_ID_5574713479096726402" border="0" alt="" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEh4YE3n4y-846_A4vCy9lTiEPA-H6sbwD8jh_5HVNyqIKL21nzPoqlIMx7-hXvRXIQQK6Z94kK-LokBmjwAlpmQHz-SEbtZ-0UIvQkT2d_iPJY1qa8gygSf7EML-tTSploSqKZpnzwD1aw/s320/3346.jpg" /></a><br />Inédit<br /><div><br /><br /><br /><div>Depuis son 1er long <strong><em>Maléfique</em> </strong>(qui a obtenu un <em><strong>Prix spécial du Jury</strong></em> à <em><strong>Gérardmer</strong></em> en 2003), <em><strong>Eric Valette</strong></em> s'intéresse souvent au film de genre, et nous gratifie d'une variation sur le <strong>Christine</strong> de <em><strong>John Carpenter</strong></em> qui traîne dans les tiroirs depuis un moment. On croirait assister à une série B d'antan, avec une bagnole qui claque et qui tue, et l'on glisse progressivement vers du Z bien costaud!</div><br /><div>Les dialogues très 1er degré, la caractérisation des personnages old school, les acteurs figés, tout concourt pour faire d'<strong>Hybrid </strong>un film d'horreur involontairement drôle, et si l'on est dans un bon jour, on peut apprécier le spectacle pour son côté raté mais fun! J'étais dans un bon jour... Surtout que l'explication scientifique de la vilaine auto vaut son pesant de pop-corn!!!</div><br /><img style="TEXT-ALIGN: center; MARGIN: 0px auto 10px; WIDTH: 256px; DISPLAY: block; HEIGHT: 171px; CURSOR: hand" id="BLOGGER_PHOTO_ID_5574713399428243138" border="0" alt="" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEins4WpkSRK5LBLvfHeDujJhXpfCVfQkNogxZxnDaIvOtX8JreJKkFXtWyH8EzwRHDcoziykC2J4IP73CpdHK8z50EWtgrMa04vcPFvvV88SocnuqPUmpQaBXhxH3Sre1t97Xc15DjcPGs/s320/hybrid_02.jpg" /><br /><div><strong>Hybrid </strong>permet de retrouver cette bonne vieille trogne d'<em><strong>Oded</strong></em> <em><strong>Fehr</strong></em>, éternel <em><strong>Farik </strong></em>de l'énorme série <em><strong>Sleeper Cell</strong></em>! Bon, il doit composer avec un rôle de gros con forcément réducteur, mais ça fait toujours plaisir de le revoir!</div><br /><div>Le budget du film ne devait pas être trop élevé, puisque l'action va se dérouler quasi-intégralement dans un garage à plusieurs niveaux, où les employés vont tenter de survivre à la voiture folle qui veut les trucider. On est à des années-lumière de l'angoisse causée par la <em><strong>Plymouth Fury</strong></em> rouge de Big John, et Little Valette se contente d'un traitement plus superficiel... Mais ça a le mérite d'être drôle, et quand on compare<strong> Hybrid</strong> à <strong>Ne nous jugez pas</strong> ou <strong>The Dead outside</strong>, on se dit qu'un petit Z c'est pas si mal de temps en temps!</div></div><br /><p><img style="TEXT-ALIGN: center; MARGIN: 0px auto 10px; WIDTH: 284px; DISPLAY: block; HEIGHT: 173px; CURSOR: hand" id="BLOGGER_PHOTO_ID_5574713298910456146" border="0" alt="" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEg-gL_1yJWMUW-2AOk5CUA0KF3ZsNLr6ZSOgpi_QF0FYSEAE8RDYtJy5rAyCgxTirmpuwl7i5VGww8PJgKNewQeS_BgdqMQqgy1fcfINoDGjoDXVggzhdPo3A38apbLUSgY5yyRRjEnBLU/s320/hybrid_01.jpg" /></p>Wade Wilsonhttp://www.blogger.com/profile/11405121560537950316noreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-1902088448562088445.post-11359290886047857012011-02-16T18:57:00.006+01:002011-02-16T19:15:37.090+01:00GERARDMER 2011, 14EME SEANCE: PROWL<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEiv5HC2YaxSwDrxvMTpLmU8JGhvOqLUr8Evo5oaoTd62xq7_5X4ERE96q2kasVdSWh13qLn_EGhKEYvgWOajjh3ouz4aAllAO5XAVFPOJSI384CSUqU-n9EV-YZwIRbRXraeWyvq6ND_uo/s1600/prowl_director_interview.jpg"><img style="MARGIN: 0px 10px 10px 0px; WIDTH: 127px; FLOAT: left; HEIGHT: 189px; CURSOR: hand" id="BLOGGER_PHOTO_ID_5574352061555179474" border="0" alt="" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEiv5HC2YaxSwDrxvMTpLmU8JGhvOqLUr8Evo5oaoTd62xq7_5X4ERE96q2kasVdSWh13qLn_EGhKEYvgWOajjh3ouz4aAllAO5XAVFPOJSI384CSUqU-n9EV-YZwIRbRXraeWyvq6ND_uo/s320/prowl_director_interview.jpg" /></a><br />Inédit<br /><div><br /><br /><br /><div>Après le très surestimé <a href="http://talkingwade.blogspot.com/search/label/Manhunt">Manhunt</a>, <em><strong>Patrik Syversen</strong></em> entame une carrière américaine avec l'intriguant <strong>Prowl</strong>, dans lequel une jeune femme à l'étroit dans son village isolé rêve de la grandeur d'une ville... Mais ce qui apparaît comme un périple fun entre potes va rapidement se transformer en cauchemar...</div><br /><br /><div>Ce point de départ hyper-classique va donner lieu à une séquence vraiment captivante lorsque la bande de jeunes se retrouve embarquée par un routier sympa. On ressent progressivement une réelle tension, d'autant plus que la situation paraît vraisemblable. On pense au <a href="http://talkingwade.blogspot.com/search/label/Hush">Hush</a> de <em><strong>Mark Tonderai</strong></em>...</div><br /><img style="TEXT-ALIGN: center; MARGIN: 0px auto 10px; WIDTH: 202px; DISPLAY: block; HEIGHT: 152px; CURSOR: hand" id="BLOGGER_PHOTO_ID_5574351941991195922" border="0" alt="" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjkKpq_7odxDH6isLLvNwCU_7zbjl2mGyUmM58C4hb71_DrVEF4FKigwLMgTlwcmWQY7MjlrezVhh4BH4lZG4D0wo1gNXF6By7OSfSJMtA4i9sgdBYfcraEbgF_WZNbf9sNB3hVNFQJQ8w/s320/29600317_.jpg" /><br /><div>Mais tout va très vite s'essouffler, lorsque la nature du Mal va être révélée. On tombe alors dans une série Z de 3ème zone (je ne sais pas réellement si ça existe, mais si oui le film y tient en entier) à l'esthétique de série fantastique hype. Il ne se passe absolument rien d'intéressant à partir de là. On passe le reste du film à suivre <em><strong>Amber</strong></em>, l'héroïne, qui tente d'échapper à ses poursuivants. Crédibilité zéro pour ce métrage, puisque les créatures ont bien du mal à venir à bout de quelques donzelles apeurées... Créatures qui ont au moins le mérite d'avoir un peu de gueule à défaut d'efficacité... Cette course-poursuite interminable bénéficiera évidemment d'un twist incroyable, et qui ne justifie aucunement la vision de cette chose. J'essaierai bien de trouver des trucs à dire pour combler, mais franchement je vois pas...</div></div><br /><p><img style="TEXT-ALIGN: center; MARGIN: 0px auto 10px; WIDTH: 252px; DISPLAY: block; HEIGHT: 169px; CURSOR: hand" id="BLOGGER_PHOTO_ID_5574351838824891986" border="0" alt="" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEg1fBsKB-LUnc-tckYYmc6uM4di5oDrD15VVVw2D4H-4W8As5NVHpjSxkwOE9tE6RQGaon-lW0sgAJgWyOdXtbWzc_XFvnYn0sels-BRF9HhMTTqSE5dDE9aRa35dWXiuJoT7MPu71GDhk/s320/prowl-1.jpg" /></p>Wade Wilsonhttp://www.blogger.com/profile/11405121560537950316noreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-1902088448562088445.post-82537780416205985972011-02-15T18:56:00.005+01:002011-02-15T19:22:10.226+01:00GERARDMER 2011, 13EME SEANCE: THE TROLL HUNTER<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgSrSwwJ_2h71R44c9gdGoScUo_jwcpxyKE4DuvEXsTMr3tJ4_bTMhLzEyOfz-TcNT1qz16iYAqtcz33PwhwAcGJG9tCwXSiDN5kbXyCC6Y_3QFsmxM-7FJ8u7uPuQU7zLJL4SxrjmCZks/s1600/Troll_hunter.jpg"><img style="MARGIN: 0px 10px 10px 0px; WIDTH: 162px; FLOAT: left; HEIGHT: 228px; CURSOR: hand" id="BLOGGER_PHOTO_ID_5573982934389385890" border="0" alt="" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgSrSwwJ_2h71R44c9gdGoScUo_jwcpxyKE4DuvEXsTMr3tJ4_bTMhLzEyOfz-TcNT1qz16iYAqtcz33PwhwAcGJG9tCwXSiDN5kbXyCC6Y_3QFsmxM-7FJ8u7uPuQU7zLJL4SxrjmCZks/s320/Troll_hunter.jpg" /></a><br /><div> Inédit<br /><br /><div><br /><br /><br /><div>La Norvège est décidément un terreau fertile pour le film de genre, et c'est avec un très grand plaisir que nous avons pu découvrir le 2ème film d'<em><strong>André Ovredal </strong></em>après <strong>Future Murder</strong>. Enfin un film en compétition qui tient toutes ses promesses, traversé par un humour nordique du plus bel effet! Dans<strong> The Troll Hunter</strong>, on va donc suivre un chasseur de troll, et on va en voir du bestiau!!!</div><br /><br /><div>Les effets spéciaux sont sacrément réussis, et Ovredal nous met face à un bestiaire varié composé de monstres géants, en leur mettant dans les pattes un chasseur très spécial et une bande de cinéastes amateurs. <strong>The Troll Hunter</strong> utilise la technique maintenant éprouvée du faux documentaire, en y mêlant un humour bienvenu sans pour autant altérer les moments de tension. La première apparition est d'ailleurs bien flippante, avec un petit côté <em><strong>X-Files</strong></em> pas dégueu... Le procédé de la caméra-témoin est périlleux, et André Ovredal le manie efficacement en préparant le terrain, grâce aux 3 étudiants expliquant leur volonté. Leur traque du chasseur va les amener naturellement à rencontrer les créatures gigantesques qui peuplent les bois norvégiens. </div><br /><img style="TEXT-ALIGN: center; MARGIN: 0px auto 10px; WIDTH: 320px; DISPLAY: block; HEIGHT: 159px; CURSOR: hand" id="BLOGGER_PHOTO_ID_5573982800395700850" border="0" alt="" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhQZeK37FuNGpbOOc9yy7tb0nDHyOxaLE6DJY9G-fgSUfNgvhnuSqIVl-TseCe_oWMweSE233490KRywUX_S6zC68fiTvS_ZRdSL-P7mdJATZZq1pKAhmFXYEXfuZuG817cXHHkipjAUnA/s320/trolljeger-1024x502.jpg" /><br /><div>Loin d'être un film opportuniste, <strong>The Troll Hunter</strong> puise dans le vivier des légendes nordiques en nous décrivant de manière précise et ponctuée de détails ces trolls, qui se scindent en différentes familles. La richesse des descriptions et des anecdotes est la source même de l'humour absurde qui traverse le film, le rendant d'autant plus attachant et fun. On apprend ainsi que le christianisme, c'est assez dangereux face à un troll...</div><br /><div><strong>The Troll Hunter</strong> n'a en plus rien à envier aux films de monstres géants nippons ou américains, et nous offre des séquences intenses d'un réalisme saisissant. Généreux, drôle, étonnant, <strong>The Troll Hunter</strong> est une pure réussite norvégienne!</div></div><br /><p><img style="TEXT-ALIGN: center; MARGIN: 0px auto 10px; WIDTH: 256px; DISPLAY: block; HEIGHT: 156px; CURSOR: hand" id="BLOGGER_PHOTO_ID_5573982685005316066" border="0" alt="" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgd1HOCTDxS0Quln6edVYU7263i-nXA1-hqGY8KyACtC_T5nC88Sd9Mlpafp3m_Rdr-EXuhm5bw0IcDHuz7F1Dw1KkcXugGiGFfNyF18GyL6IgW509VPwU-inXURJHzhSaFomATly4T1Sk/s320/arton10988-f582e.jpg" /></p></div>Wade Wilsonhttp://www.blogger.com/profile/11405121560537950316noreply@blogger.com2tag:blogger.com,1999:blog-1902088448562088445.post-50744748772621450682011-02-14T14:33:00.009+01:002011-02-22T07:32:29.264+01:00X-FACTOR MONSTER 1: NATION X<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhL3DnUZuAf8ovsKTCBE0TE9iBGIK30iboCcFFpAebQd0fsCyfSRitCqQAWGESkrPu6JU1Zdw5YV4LMzwaEqQ1woSdGpJ66VwXDl43gzn9dyiVd_nLYCmMYAx5DLvt-VATyBXeqK8AtVD8/s1600/parutions_marvel-monster--x-factor---nation-x_1295804748.jpg"><img style="MARGIN: 0px 10px 10px 0px; WIDTH: 151px; FLOAT: left; HEIGHT: 230px; CURSOR: hand" id="BLOGGER_PHOTO_ID_5573547017663636226" border="0" alt="" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhL3DnUZuAf8ovsKTCBE0TE9iBGIK30iboCcFFpAebQd0fsCyfSRitCqQAWGESkrPu6JU1Zdw5YV4LMzwaEqQ1woSdGpJ66VwXDl43gzn9dyiVd_nLYCmMYAx5DLvt-VATyBXeqK8AtVD8/s320/parutions_marvel-monster--x-factor---nation-x_1295804748.jpg" /></a> Sorti le 9 février<br /><br /><br /><div><div><div><div><em><strong>Facteur-X</strong></em> était à l'origine une création de <em><strong>Bob Layton</strong></em> et <em><strong>Jackson Guice</strong></em> parue en 1986, et qui mettait en scène la bande originelle des <em><strong>X-Men</strong></em>, à savoir <em><strong>Cyclope</strong></em>, <em><strong>Jean Grey</strong></em> (qui renaît de ses cendres pour l'occasion...), <strong><em>le Fauve</em></strong>, <em><strong>Iceberg</strong></em> et <em><strong>Angel</strong></em>. Comme la plupart des équipes <em><strong>X</strong></em>, celle-ci allait subir plusieurs remaniements, et les aventures relatées dans ce <em><strong>Monster </strong></em>présentent la quatrième version de l'équipe, qui a évolué jusqu'à neuf membres. Sous le couvert d'une agence d'investigations, elle enquête sur les menaces à l'encontre des mutants. Elle compte dans ses rangs <em><strong>Madrox</strong></em>, <em><strong>Guido</strong></em>, <em><strong>Shatterstar</strong></em>, <em><strong>Layla Miller</strong></em>, <em><strong>Cyrène</strong></em>, <em><strong>Rictor</strong></em>, <em><strong>Darwin</strong></em>, <em><strong>Longshot</strong></em> et <strong><em>Monet</em></strong>.</div><br /><div>Avec le crossover <em><strong>Second Coming</strong></em> qui arrive et qui va toucher l'ensemble des titres X, <em><strong>Panini</strong></em> comble les trous après l'arrêt de la parution de la série dans le mensuel <em><strong>Astonishing X-Men</strong></em>. C'est donc 10 épisodes qui sont proposés dans ce numéro géant: <em><strong>X-Factor</strong></em> 46 à 50, puis X-Factor 200 à 203 (la numérotation d'origine est reprise après le numéro 50), ainsi que le numéro spécial <em><strong>X-Factor: Nation X</strong></em>.</div><br /><img style="TEXT-ALIGN: center; MARGIN: 0px auto 10px; WIDTH: 185px; DISPLAY: block; HEIGHT: 279px; CURSOR: hand" id="BLOGGER_PHOTO_ID_5573546918938213618" border="0" alt="" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgZry51VuLvMsDMawbbiNrOZ-vQkf5nYapCGY6rdA4KcMhcC9r1YZXigKKWMPRW2bvBF78VkpN1gaQ62GcqFiwvVUIAbiQOjV9DVzw7CPatotU1SppKcU4VOw6ExjkriopYIo9awpm0SMI/s320/Pages_from_X_Factor_200_7.jpg" /> Très difficile de s'immerger dans ces aventures si l'on n'a pas lu le mensuel Astonishing X-Men. J'avais été prévenu, mais je l'ai acheté quand même, au vu des critiques généralement positives sur la série. La profusion des personnages (9 membres d'équipe, et des vilains inconnus), le rythme haché des épisodes (combat-calme, combat-calme, combat-calme...) et les scénarios (signés <em><strong>Peter David</strong></em>) qui aiment à faire s'entrechoquer les réalités parallèles et les doubles interdimensionnels m'ont laissé complètement froid. Les épisodes 46 à 50 (<em><strong>Hors du Temps</strong></em>) souffrent de ce rythme particulier et d'enjeux dramatiques obscurs. En même temps, ces épisodes font directement suite à ceux du mensuel, et on reprend donc une intrigue mise en place ailleurs...<br /><br /><img style="TEXT-ALIGN: center; MARGIN: 0px auto 10px; WIDTH: 157px; DISPLAY: block; HEIGHT: 238px; CURSOR: hand" id="BLOGGER_PHOTO_ID_5573546803425006354" border="0" alt="" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhmoBKfCjD5gGh4DruyDNm7fd6TW2HkyROx5yBVerUSy-CZA98Nyd1QN1Tr2gtLkrmSdUyy3t7Cz2niudSzRdTiJovZBYjBY_AiUTH1cY58kXDB5aiWjZg4xmUyfghYVO8lsDoj85MBvDQ/s320/X_FACTOR_201.jpg" />Les épisodes suivants, <em><strong>L'Invisible a disparu</strong></em> et <em><strong>Qui Père gagne</strong></em> poursuivent l'exploration de cette équipe dont on se surprend à confondre les personnages à plusieurs reprises à cause de visages similaires... Mais le plus beau reste le Cyclope tendance <em><strong>Bogdanov</strong></em>, qui d'imberbe passe à une barbe de trois jours en deux cases... Un souci du détail étonnant de la part du dessinateur...<br /><br /><div>L'épisode Nation X est vaguement intéressant, avec le quotidien des mutants réfugiés sur Utopia, et le court récit qui termine l'ouvrage est le plus riche; en 12 planches, on ressent davantage d'émotion que dans le reste... </div><br /><div>A réserver aux fans inconditionnels de l'équipe...</div><br /><div><img style="TEXT-ALIGN: center; MARGIN: 0px auto 10px; WIDTH: 271px; DISPLAY: block; HEIGHT: 210px; CURSOR: hand" id="BLOGGER_PHOTO_ID_5573546663355674482" border="0" alt="" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEijGvcc5kpCkFn6hcOdGZ3FeeK_uyFoWiqCDKF9v431A-pQeWK2Wp1N8zoyTjFH9uW22hCo95KtC4ODCJ7bFXBKrLqrwtbivpn9wPiykn7SaiV9cH3bCTRmHBwG6NvQne5oUdB_SZVkSkU/s320/200.jpg" /></div></div></div></div>Wade Wilsonhttp://www.blogger.com/profile/11405121560537950316noreply@blogger.com2tag:blogger.com,1999:blog-1902088448562088445.post-91372567374978432832011-02-13T11:28:00.007+01:002011-02-17T19:25:09.021+01:00BLACK SWAN<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEi-EEEtj8Ze38_3ASWbpnZIqYzTGUnWjIboWnMAdyuevaG9WlWGvrogIoY98BF3c9-vHPNZmpFCNgnDSNmL_1JyjG593eubjuTdAqWb8_MChDbc4ca-iV__yAQEPQH6XmgLAA7ojmaAp3k/s1600/affiche-black-swan-10362406zkkww.jpg"><img style="MARGIN: 0px 10px 10px 0px; WIDTH: 132px; FLOAT: left; HEIGHT: 194px; CURSOR: hand" id="BLOGGER_PHOTO_ID_5573132549210225058" border="0" alt="" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEi-EEEtj8Ze38_3ASWbpnZIqYzTGUnWjIboWnMAdyuevaG9WlWGvrogIoY98BF3c9-vHPNZmpFCNgnDSNmL_1JyjG593eubjuTdAqWb8_MChDbc4ca-iV__yAQEPQH6XmgLAA7ojmaAp3k/s320/affiche-black-swan-10362406zkkww.jpg" /></a><br /><div><div><div>Sorti le 9 février<br /><br /><br /><br /></div><div>Petit écart par rapport au compte-rendu de <em><strong>Gérardmer </strong></em>ces 2 prochains jours, et on commence par <strong>Black Swan</strong>. Après sa vision naturaliste d'un catcheur en perte de vitesse avec <a href="http://talkingwade.blogspot.com/search/label/The%20Wrestler">The Wrestler</a>, <em><strong>Darren Aronofsky</strong></em> nous offre son pendant féminin et stylisé avec <strong>Black Swan</strong>, évocation des pressions endurées afin de parvenir à la perfection. </div><div><br /><br /></div><div>Rien n'est plus antinomique au catch que la grâce et la précision du ballet, même si le dénominateur commun reste la performance physique. Le travail sur la chair, qui laissait des marques sur tout le corps de <em><strong>Randy Robinson</strong></em> après des années de pratique, trouve son écho dans la rigueur que s'impose <em><strong>Nina Sayers,</strong></em> interprétée par<em><strong> Natalie Portman</strong></em>. Ongles explosés, douleurs régulières, la danse classique est exigeante et demande des sacrifices aussi bien physiques que psychologiques.</div><div><br /></div><img style="TEXT-ALIGN: center; MARGIN: 0px auto 10px; WIDTH: 254px; DISPLAY: block; HEIGHT: 171px; CURSOR: hand" id="BLOGGER_PHOTO_ID_5573132429749275778" border="0" alt="" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhbUk78awhyMI7l70sMnugPGlT9XQGbbWsim2cyKPmgj_BCkpSoicJj9zZj5lnLzMhMa9vyFlafszz4KbWgeOj4m5UIUn47JYjNqXRgTBgTruaRf_OgfSY0-kq270MbdcOy19Q27HsnOQo/s320/black-swan-de-darren-aronofsky-10362604cpxae.jpg" /> Darren Aronofsky utilise une mise en scène plus virevoltante que sur son précédent film, et revient aux expérimentations visuelles de <strong>Requiem for a Dream</strong> ou <strong>The Fountain</strong>. L'ouverture avec cette danse à 3 (Nina, la créature noire, et la caméra) se révèle d'une grande maîtrise en offrant un tournis visuel et dramatique appréciable.<br /><br /><div>Le film va donc suivre le travail de Nina et sa relation ambigüe avec le chorégraphe <em><strong>Thomas Leroy</strong></em>, interprété par <em><strong>Vincent Cassel.</strong></em> L'acteur français très à l'aise dans un rôle d'homme dominant qu'il maîtrise depuis des années maintenant. On suit également l'apprentissage de<em><strong> Lily</strong></em> (<em><strong>Mila Kunis</strong></em>), désireuse elle aussi de participer à ce renouveau du <em><strong>Lac des Cygnes</strong></em>. Son côté spontané et sa fraîcheur sont à l'opposé de la rigueur et la fragilité de Nina.</div><br /><img style="TEXT-ALIGN: center; MARGIN: 0px auto 10px; WIDTH: 227px; DISPLAY: block; HEIGHT: 152px; CURSOR: hand" id="BLOGGER_PHOTO_ID_5573132307461250546" border="0" alt="" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjZK5XqQc3ibDo4MoehkyM7E3embcF8QAvEy5wT9yVsckXx-bVdlkZqla1cCDq99rvYTGnR58no-VmkI8MPlLcM2j0tuQD3PkIf9x8KFz8mrdxCLUKrgd_k0DnyugbDugSVCGNeTUQmKOM/s320/black-swan-mila-kunis-interview.png" /> </div><div>Aronofsky s'approprie le ballet avec élégance, et déroule son récit dans une veine maladive; il faut aimer le genre très spécifique de film d'horreur psychologique pour apprécier <strong>Black Swan</strong> pleinement. J'avoue que les films dépressifs, ça commence à me saturer... Alors oui, Aronofsky filme avec élégance, et les acteurs sont tous bons, mais l'aspect maladif déroule tout de même des poncifs éculés: la mère castratrice, les jeux de miroirs en rapport avec la dualité du rôle... Ca manque de folie novatrice...<br /><div></div><div>Une scène m'a fait ressentir une forte émotion, c'est la transformation en cygne noir. La perfection de cette séquence donne des frissons! Et elle montre aussi que le reste du film ne possède pas le même degré émotionnel...</div><br /><p><img style="TEXT-ALIGN: center; MARGIN: 0px auto 10px; WIDTH: 320px; DISPLAY: block; HEIGHT: 137px; CURSOR: hand" id="BLOGGER_PHOTO_ID_5573132163052679634" border="0" alt="" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEg-jsL6WFl02v0CPIEmP4-J7jfy13BDTUKSn1iJWr_YRAmMzz1igX-mHOrnvMOy4HDDNhtD8rTosXvYNspp_T3Rnzlu8U4k7wa4YXaMoZVfJ98qorSIKnyPJn5ILZ3_Kv59uT5vNc3jsUU/s320/black-swan.jpg" /></p></div></div>Wade Wilsonhttp://www.blogger.com/profile/11405121560537950316noreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-1902088448562088445.post-42440452129014909462011-02-12T13:48:00.008+01:002011-02-12T14:17:15.110+01:00GERARDMER 2011, 12EME SEANCE: NE NOUS JUGEZ PAS<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEh1UDpk383mZ8Xyf6naVJW5rN6RetIVOsD6x1QBgFWAE05Ulhy0JLlm6ff0DPWe8wHTytOF5BHvHEsIFXDTUCR1htUzhKxzgNEG5_AkvMPHruy5v72YjHlw4w2kWrFyXicb_KNpWzlPieQ/s1600/11153743_det.jpg"><img style="MARGIN: 0px 10px 10px 0px; WIDTH: 114px; FLOAT: left; HEIGHT: 162px; CURSOR: hand" id="BLOGGER_PHOTO_ID_5572790241297758914" border="0" alt="" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEh1UDpk383mZ8Xyf6naVJW5rN6RetIVOsD6x1QBgFWAE05Ulhy0JLlm6ff0DPWe8wHTytOF5BHvHEsIFXDTUCR1htUzhKxzgNEG5_AkvMPHruy5v72YjHlw4w2kWrFyXicb_KNpWzlPieQ/s320/11153743_det.jpg" /></a><br />Inédit<br /><div><br /><br /><br /><div>Le premier long du Mexicain <em><strong>Jorge Michel Grau</strong></em> est directement catapulté en compétition officielle, et l'on est bien en mal d'expliquer pourquoi. Et quand il ressort avec un <em><strong>Prix du Jury</strong></em> ex-aequo avec <strong>The loved Ones</strong>, l'incompréhension est totale.</div><div> </div><div>Car ce film de cannibales mexicains est un drame social d'un ennui profond, dans lequel les anthropophages ne bouffent pas la moindre chair humaine à l'écran! Une sorte de variation sociale sur la condition de paria, un peu comme le tout aussi réussi <a href="http://talkingwade.blogspot.com/search/label/The%20Dead%20outside"><strong>The Dead outside</strong> </a>le faisait sur le mode des zombies. Si la mise en scène est agréable, la nature du sujet et son traitement n'ont strictement pas le moindre intérêt, et l'on suit les difficultés de cette famille sans la moindre empathie ni la moindre émotion. Au contraire, le détachement est tel que des scènes censées être captivantes n'en sont que risibles... </div><br /><div></div><img style="TEXT-ALIGN: center; MARGIN: 0px auto 10px; WIDTH: 256px; DISPLAY: block; HEIGHT: 145px; CURSOR: hand" id="BLOGGER_PHOTO_ID_5572790056909309650" border="0" alt="" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgJkg7ogSGBz7F33_CGdnN-kc3nxd1dGxpN-VePZ5OOLvDUSWg5s1CUrA11WhlhhcsC-mt1xWqStVgy_i3YgkVes38DFnkfDGG60iJ_WjSNBsOFXdNKK4vDnLfbTruNYZIq3V2okU0KDx0/s320/0ea647af9cb341a37a31d8c904f7123e20100908144135.jpg" />Les tensions au sein du cercle familial bouillonnent entre une marâtre et ses trois enfants. Et les poncifs ne sont pas évités, entre un fils qui se rendre compte de sa gay attitude, et l'autre fils qui est attiré par sa frangine... Il n'y a même pas un aspect sulfureux puisque Grau ne va jamais jusqu'au bout de ce qu'il veut démontrer. <strong>Ne nous jugez pas</strong> est un excellent cas d'école pour démontrer comment annihiler un sujet intéressant...<br /><div>Le misérabilisme de cette vision et la propension documentaire des difficultés sociales mexicaines plombent l'atmosphère, et le réalisateur semble à tout prix édulcorer le moindre effet spectaculaire. Ce qui donne pour résultat un film totalement vide. Et qui gagne le P<em><strong>rix du Jury</strong></em>...</div></div><br /><p><img style="TEXT-ALIGN: center; MARGIN: 0px auto 10px; WIDTH: 284px; DISPLAY: block; HEIGHT: 135px; CURSOR: hand" id="BLOGGER_PHOTO_ID_5572789957009352002" border="0" alt="" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEiRg9O5oTxa3wkLbLAIjhn-FtAG_gifXwmCT70_3M_lWk1xecwkn5tkCbLEXx22G_Y9yjAYGeSO_GbiyOIzPh3U688o1BVoaJbbFNnuSsaIr4q7CUuOUwAx-7w9wDkfyNLrKy86Yiom4lU/s320/artimage_321516_3187153_201101295825178.jpg" /></p>Wade Wilsonhttp://www.blogger.com/profile/11405121560537950316noreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-1902088448562088445.post-42302322423872415002011-02-11T14:26:00.008+01:002011-02-11T14:54:45.611+01:00GERARDMER 2011, 11EME SEANCE: COLD PREY 3<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEj_KoF1EazrtYxJUOykPxoj1NWeZNzVvha5rDTfq8iuxL42VJv57pc8DUFScV6ZIt7B_U4FhIrG8pQhR_IHNgDzryK8o878LoMrY0a3W9RYYDywsNjd3fxuG9lg_zzxUJNcIXIAD7sSnYI/s1600/cold_prey_3.jpg"><img style="MARGIN: 0px 10px 10px 0px; WIDTH: 135px; FLOAT: left; HEIGHT: 192px; CURSOR: hand" id="BLOGGER_PHOTO_ID_5572428271661116626" border="0" alt="" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEj_KoF1EazrtYxJUOykPxoj1NWeZNzVvha5rDTfq8iuxL42VJv57pc8DUFScV6ZIt7B_U4FhIrG8pQhR_IHNgDzryK8o878LoMrY0a3W9RYYDywsNjd3fxuG9lg_zzxUJNcIXIAD7sSnYI/s320/cold_prey_3.jpg" /></a> Inédit<br /><br /><div>Le dyptique <em><strong>Cold Prey</strong></em> avait fait l'effet d'une bombe au <em><strong>festival de Gérardmer </strong></em>lors de l'édition 2009! Réalisés respectivement par <em><strong>Roar Uthaug</strong></em> et <em><strong>Mats Stenberg</strong></em>, <a href="http://talkingwade.blogspot.com/search/label/Cold%20Prey">Cold Prey </a>et <a href="http://talkingwade.blogspot.com/search/label/Cold%20Prey%202">Cold Prey 2 </a>renouvellaient la mode du slasher avec une nervosité bienvenue et un sens de la mise en scène élaboré, le tout baignant dans une ambiance nordique intense. Il n'en fallait pas moins pour donner vie à deux oeuvres hors normes aussi soignées que jouissives. Et il n'en fallait pas moins pour qu'un troisième opus soit mis en chantier, sous la forme d'une préquelle cette fois-ci, qui mettrait l'accent sur les agissements du tueur 10 ans après le drame familial du fameux hôtel.</div><br /><div><img style="TEXT-ALIGN: center; MARGIN: 0px auto 10px; WIDTH: 274px; DISPLAY: block; HEIGHT: 138px; CURSOR: hand" id="BLOGGER_PHOTO_ID_5572428066731607330" border="0" alt="" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgItq1D4uIl3XuHc918uRwGYwdYOnBhz9jGMM3m4Tekm7fMwqzQedZApiFn4-Uc3LkSP8kXjDqiYzEu-nmoxWIN_3w1_N1kDATYLNSsnFd1hR-y3ZHrslDVY609z_5ionEW3mub0E_rwzQ/s320/Film_Fritt_Vilt_3_Filmweb.jpg" /></div><div></div><div>C'est le novice <em><strong>Mikkel Braonne Sandemose</strong></em> qui a la tâche de retourner à la source du Mal, aidé par deux scénaristes qui approchent également pour la première fois la saga, <em><strong>Peder Fuglerud</strong></em> et <em><strong>Lars Gudmestad</strong></em>. L'équipe originelle composée d'Uthaug à l'écriture, à la réalisation et à la production, ainsi que des scénaristes<em><strong> Thomas Moldestad</strong></em> et <em><strong>Martin Sundland</strong></em> cède donc sa place, pour une approche plus conventionnelle.</div><br /><div><strong>Cold Prey 3</strong> est un film de genre efficace , mais reste clairement le volet le moins approfondi, malgré son statut de préquelle. Les ambiances tendues et les saillies gores du plus bel effet graphique ne sont certainement pas atteintes par Sandemose, qui compose pourtant un slasher de bonne facture. Simplement, l'appelation <em><strong>Cold Prey</strong></em> est vendeuse, et peut décevoir...</div><br /><img style="TEXT-ALIGN: center; MARGIN: 0px auto 10px; WIDTH: 252px; DISPLAY: block; HEIGHT: 158px; CURSOR: hand" id="BLOGGER_PHOTO_ID_5572427923483620242" border="0" alt="" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEj1bTBVcMbCcVUn62-Dyjd10Z7j5aOfEVfTUuhKZ266WnD2TKelWVTXcSwo9GEVfPNRk-xV9JhvTm8T1Uo9Cocgz2lK05nQm-8xx7Tb3oqqSIg4DEi50vlHXEPbp_WPoZwrR4GdUlSmK4E/s320/Cold-Prey-3-28906.jpg" /><br /><div>On apprend pourtant comment le fameux tueur a survécu au départ, et de quelle manière il a commencé à arpenter la montagne pour se la jouer <em><strong>Jason Voorhees</strong></em>. Sandemose pose son cadre en plein dans les années 80, époque bénie pour les slashers, avec ses victimes adeptes du walk-man et des Smiths. L'esprit de cette période est recréé avec soin, et le climat s'avère solide et sincère. Sa mise en scène n'est pas aussi inventive que celle d'Uthaug et Stenberg, mais permet à <strong>Cold Prey 3</strong> de rester une honnête série B. </div><br /><div>La caractérisation des protagonistes est elle aussi plus basique, ne permettant pas au film de se déplacer vers un terrain psychologique plus envoûtant. Passée la déception de ne pas être face à des qualités équivalentes à <strong>Cold Prey</strong> et <strong>Cold Prey 2,</strong> on ne s'ennuie tout de même pas dans cet épisode.</div><br /><p><img style="TEXT-ALIGN: center; MARGIN: 0px auto 10px; WIDTH: 260px; DISPLAY: block; HEIGHT: 131px; CURSOR: hand" id="BLOGGER_PHOTO_ID_5572427754774467570" border="0" alt="" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjVQTPRh9Pt63S_PwAdEwmkIcsU6U5ETn6NsQaIuviE-SyLzvx72AQcPkJdEAHU8EQQcOKM2JKNYCf0qVo7JdttyzPzLY7dqjKWPCuDD5BoQBJT9GzVTgDaJzU9mLECMuL-6qeOPaBejVY/s320/fritt-vilt-3-1.jpg" /></p>Wade Wilsonhttp://www.blogger.com/profile/11405121560537950316noreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-1902088448562088445.post-54428964264629463082011-02-10T18:56:00.006+01:002011-02-10T19:15:37.970+01:00GERARDMER 2011, 10 EME SEANCE: RARE EXPORTS: UN CONTE DE NOEL<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEiwZbj63vfI8mkBTBilBgn4HVoBu3owZWs7DuGvNv4oH4DLcfUBCgw6PL6ZSLn_Q4hJqY9mk4eTE-Uwh0uZn9ImhmrmcW_z30MrpFU61HwiVuI8xOmpb3kKBnjjVmfNOTMvheuMAjg_iEc/s1600/rare-exports-a-christmas-tale-poster-0.jpg"><img style="MARGIN: 0px 10px 10px 0px; WIDTH: 148px; FLOAT: left; HEIGHT: 209px; CURSOR: hand" id="BLOGGER_PHOTO_ID_5572125306298771074" border="0" alt="" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEiwZbj63vfI8mkBTBilBgn4HVoBu3owZWs7DuGvNv4oH4DLcfUBCgw6PL6ZSLn_Q4hJqY9mk4eTE-Uwh0uZn9ImhmrmcW_z30MrpFU61HwiVuI8xOmpb3kKBnjjVmfNOTMvheuMAjg_iEc/s320/rare-exports-a-christmas-tale-poster-0.jpg" /></a><br /><div><div>Inédit<br /><br /><br /><div><strong>Rare Exports: un Conte de Noël</strong> crée le buzz depuis quelques mois sur la toile, avec son histoire de <em><strong>Père Noël</strong></em> sadique sur fond de Finlande enneigée. <em><strong>Jalmari Helander</strong></em> allonge son court métrage <em><strong>Rare Exports Inc. </strong></em>et met en scène un premier long au sujet original. Dans un village reculé du Nord de la Finlande, un groupe d'hommes va être confronté à une créature sauvage, qui pourrait bien être le Père Noël originel, bien plus destructeur que l'image édulcorée véhiculée au fil des ans. Le fils d'un des hommes va prendre les choses en main afin de se débarrasser de la créature démoniaque!</div><br /><img style="TEXT-ALIGN: center; MARGIN: 0px auto 10px; WIDTH: 265px; DISPLAY: block; HEIGHT: 144px; CURSOR: hand" id="BLOGGER_PHOTO_ID_5572125206139118674" border="0" alt="" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhlFu_OUK8ZecLpgqJV7uzbEwU9ylau-7bFKI3TSFb8_NZbb5-N6CdMxO3yZh_cGECu2DUDA2JNhAV0WBTCQa8f4-ABxwpW2X8TK1HmJI1IF80yxnXRmXu2jUn2Jj1yzMx17wthGA3zZGs/s320/Rare-Exports-Pig-head-best-movies-ever-a-christmas-tale.jpg" /><br /><div><strong>Rare Exports</strong> laissait présager un film à la folie exacerbée traversé par une violence outrancière; au final, il faut tout de même relativiser le degré de délire du film, dont le rythme est probablement desservi par son matériau originel de court métrage. Helander a gonflé son histoire sur 1h18, mais offre un rythme relativement calme pendant un long moment. <strong>Rare Exports</strong> n'a rien d'un slasher de Noël, et le gore ne semble pas prioritaire pour le réalisateur.<strong> Rare Exports</strong> est une comédie au rythme très nordique, teinté d'un film d'aventures enfantin à la<strong> Goonies</strong> sauce viking.</div><br /><div>Le résultat est une oeuvre en-deça des attentes, mais agréable à suivre grâce à une caractérisation savoureuse des personnages et à une mise en scène très maîtrisée faisant la part belle au paysage montagneux! L'absurdité qui contamine le récit va faire évoluer le film vers une conclusion bien démente, et le film s'achève dans une bonne humeur communicative!</div></div><br /><p><img style="TEXT-ALIGN: center; MARGIN: 0px auto 10px; WIDTH: 285px; DISPLAY: block; HEIGHT: 172px; CURSOR: hand" id="BLOGGER_PHOTO_ID_5572125107841133170" border="0" alt="" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgi2e3YmVUjq07AmTbjYx4GgiLPKFIgq4w2csz2jz65JmQRU3lrH-dDV83w4O4f8GMcto2M_gZA8hjdjLsadvT0-984LDCrzekLjVm-xt21agZP_9Eip2A3K74yi5TJ9Zawt5VV8aRS8VU/s320/Rare-Exports-A-Christmas-Tale-film-photo-pere-noel-580x349.gif" /></p></div>Wade Wilsonhttp://www.blogger.com/profile/11405121560537950316noreply@blogger.com2tag:blogger.com,1999:blog-1902088448562088445.post-91491015327865976202011-02-09T18:48:00.005+01:002011-02-09T19:03:48.151+01:00GERARDMER 2011, 9EME SEANCE: TRIANGLE<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEh58dVeyO_qVJAPWevBs3xHZscjxHQwFLKLbXlBgadVolZtrwAwkudBfFdFRvszUKisIFok5b588X4btl6oiQkg4odzLZD4tJVyC1gDhTZ3T2yCUY0leeZWs-c2FvN_7jUjQdsEd0U_30s/s1600/triangle4.jpg"><img style="MARGIN: 0px 10px 10px 0px; WIDTH: 132px; FLOAT: left; HEIGHT: 194px; CURSOR: hand" id="BLOGGER_PHOTO_ID_5571751582344807810" border="0" alt="" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEh58dVeyO_qVJAPWevBs3xHZscjxHQwFLKLbXlBgadVolZtrwAwkudBfFdFRvszUKisIFok5b588X4btl6oiQkg4odzLZD4tJVyC1gDhTZ3T2yCUY0leeZWs-c2FvN_7jUjQdsEd0U_30s/s320/triangle4.jpg" /></a> Inédit<br /><div><div><br /><br /><br /><div><em><strong>Christopher Smith</strong></em> a mis en boîte <strong>Black Death</strong> l'année dernière, mais c'est avec son <strong>Triangle</strong> de 2009 qu'il participe aux <em><strong>Inédits Vidéo</strong></em> à Gérardmer. Qu'à cela ne tienne, il remporte le prix grâce à un film ludique et tendu, digne héritier de <em><strong>La quatrième Dimension</strong></em> et <em><strong>X-Files</strong></em>.6 personnes se retrouvent piégées sur un voilier lors d'une tempête, et vont accoster un immense navire désert. Leur recherche d'éventuels passagers ne va pas être de tout repos...</div><br /><div>Christopher Smith réalise probablement le film le plus rythmé de la catégorie Inédits Vidéo, et mérite sa victoire. <strong>Triangle </strong>joue avec ses personnages pris dans une boucle temporelle, et le scénario de Smith lui-même s'avère d'une tenue exemplaire. L'exercice est forcément périlleux, mais il s'en s'en sort efficacement, aidé par une poignée d'interprètes motivés, dont l'actrice principale <em><strong>Melissa George</strong></em>, qui avait notamment joué dans <strong>Paradise lost</strong> ou le remake d'<strong>Amityville</strong>. </div><br /><img style="TEXT-ALIGN: center; MARGIN: 0px auto 10px; WIDTH: 232px; DISPLAY: block; HEIGHT: 160px; CURSOR: hand" id="BLOGGER_PHOTO_ID_5571751493825050210" border="0" alt="" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhjPrwhLa5KyAsMIMtjyA9hter4CcNmUGHENuvYB7EXSO-omVVcHO492kpfXLGSuUl1ZswYd_bFAUN_eQIfIgs8ek5B9tyV-801DO31leevrlutG01xWq7aixJZSZD8qtfGwqMhx7gEQ_Q/s320/000463.jpg" /><br /><div>Smith ne laisse pas de temps mort dans ce récit étrange, servi par une mise en scène classique mais solide. Les relations entre les différents protagonistes vont rapidement évoluer, et l'intelligence du script est de nous laisser un temps de retard sur les événements, nous obligeant à nous repositionner en fonction des réactions des personnages. </div><div>Le concept de <strong>Triangle</strong> se révèle accrocheur, et l'empathie pour le personnage principal permet au fillm de fonctionner efficacement.</div></div><br /><p><img style="TEXT-ALIGN: center; MARGIN: 0px auto 10px; WIDTH: 247px; DISPLAY: block; HEIGHT: 165px; CURSOR: hand" id="BLOGGER_PHOTO_ID_5571751400609614002" border="0" alt="" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgP_XzihEm5VVd5syRGiRr72f028lIGd_MtPSRFcm_PEH-3maO4mghCCIoOKs6HJBB6_RbGyNJBA-h1pE64iDS6SCW8X_DSbOh4DiAAoaWZHsL0nVdABrqKBrG4emaVSwAHXYW9bL7H4Mk/s320/19149187_w434_h_q80.jpg" /></p></div>Wade Wilsonhttp://www.blogger.com/profile/11405121560537950316noreply@blogger.com2tag:blogger.com,1999:blog-1902088448562088445.post-17583388269998243232011-02-08T07:25:00.005+01:002011-02-08T18:44:11.136+01:00GERARDMER 2011, 8EME SEANCE: THE DEAD OUTSIDE<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEh5z1FdLWVqGaFCi7KZv90lQoATjzn8qGrLDQ7-gO5nPF_6363OblTsdK34wAOnwFARalJx0Rc5ukWX4FO1c84CfMW33Y7_JH3JfOx2MdW9DFIr_6i9HDiavz-R0F2-AsRyicN_vjORIbA/s1600/The_dead_outside.jpg"><img style="MARGIN: 0px 10px 10px 0px; WIDTH: 132px; FLOAT: left; HEIGHT: 187px; CURSOR: hand" id="BLOGGER_PHOTO_ID_5571375397742348626" border="0" alt="" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEh5z1FdLWVqGaFCi7KZv90lQoATjzn8qGrLDQ7-gO5nPF_6363OblTsdK34wAOnwFARalJx0Rc5ukWX4FO1c84CfMW33Y7_JH3JfOx2MdW9DFIr_6i9HDiavz-R0F2-AsRyicN_vjORIbA/s320/The_dead_outside.jpg" /></a> Sorti en DVD le 2 février<br /><br /><br /><div><div><div><div>On attaque la 2ème journée avec<strong> The Dead outside</strong>. Une jolie affiche, un titre accrocheur, et au final un film d'infectés (ou de zombies, on sait pas trop et on s'en fout) totalement inintéressant, à l'action mollassonne et aux personnages déprimants. <em><strong>Kerry Anne Mullaney</strong></em> réalise son premier long, et nous sert un mélange de drame intimiste rural et d'horreur, sauf que les scènes censées être flippantes sont filmées dans un style parkinsonien exacerbé. L'action est illisible, les infectés sont ridicules, et les personnages sont d'un ennui profond.</div><br /><div>Le début du film fait pourtant illusion, avec cette approche réaliste pas forcément inintéressante, même si le procédé reste relativement convenu. Mais la répétition des séquences, l'incommunicabilité entre les deux personnages principaux, et l'ambiance dépressive de l'ensemble, annihilent tout intérêt. On se retrouve devant un film creux, dénué de rythme, dépouillé de toute aura fantastique et de la moindre tension dramatique.</div><br /><div></div><img style="TEXT-ALIGN: center; MARGIN: 0px auto 10px; WIDTH: 265px; DISPLAY: block; HEIGHT: 150px; CURSOR: hand" id="BLOGGER_PHOTO_ID_5571375285570379474" border="0" alt="" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjJstAuWqZoKmAiYmwYgJXZh_yMyafZrmQqOdm1gbCvXEIgA6GHPr4V984jRvZ8Ab83CYNljri3cgGnbTkieHQ_9kxKszx6OMWpruTnsz58IK09ToWUpaAvE3WPsK2FE1ONV6ftiWbQg0k/s320/tdo1.jpg" /> Quand<em><strong> Romero</strong></em> va à la campagne, ça donne un <strong>Survival of the Dead</strong> sympathique; et quand <em><strong>Billy O'Brien</strong></em> fait de l'horreur rurale, ça donne un <strong>Isolation</strong> à l'ambiance horrifique bien mieux travaillée.<br /><div> </div><div><strong>The Dead outside</strong> veut s'immiscer dans un territoire déjà traversé par d'autres, mais ne possède pas la force nécessaire pour fonctionner. Un ratage total...</div></div></div><br /><p><img style="TEXT-ALIGN: center; MARGIN: 0px auto 10px; WIDTH: 266px; DISPLAY: block; HEIGHT: 151px; CURSOR: hand" id="BLOGGER_PHOTO_ID_5571375182490024898" border="0" alt="" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhc4mPnl09-hq_F4kd7XjRR1wpTf7_NfLUbm83X-xhDV-eKURC8t0fB_ouRE2hNginyIooVM4j-BUPh2gi-yJHxRDIWQTd4XCtm8uh9V8QvZyIbrv9XCIG-PwzBXRqol91riVD0PmQ_hFM/s320/The-Dead-Outside-Review-2.jpg" /></p><p> </p></div>Wade Wilsonhttp://www.blogger.com/profile/11405121560537950316noreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-1902088448562088445.post-57040012751446932452011-02-07T13:19:00.008+01:002011-02-07T13:49:44.656+01:00GERARDMER 2011, 7EME SEANCE: EN QUARANTAINE 2<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgyljTmKuT5JKKTtz6eLWsSMqc0udS4ZM404Ye8o1givhunh2c5fEsJ53cVZANZp_0QBC16hDV245GIkQVmvjUO6eVOywkKMuG35qBcVMiKevqR8cQfMRkmHi3RjsY7AhJUERe3k-U1XRQ/s1600/quarantine-2-teaser.jpg"><img style="MARGIN: 0px 10px 10px 0px; WIDTH: 153px; FLOAT: left; HEIGHT: 196px; CURSOR: hand" id="BLOGGER_PHOTO_ID_5570928197003113794" border="0" alt="" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgyljTmKuT5JKKTtz6eLWsSMqc0udS4ZM404Ye8o1givhunh2c5fEsJ53cVZANZp_0QBC16hDV245GIkQVmvjUO6eVOywkKMuG35qBcVMiKevqR8cQfMRkmHi3RjsY7AhJUERe3k-U1XRQ/s320/quarantine-2-teaser.jpg" /></a><br /><div><div>Inédit<br /><br /><br /><div>Une suite au <a href="http://talkingwade.blogspot.com/search/label/En%20Quarantaine">remake</a> de<a href="http://salemcenter.blogspot.com/2008/02/gerardmer-2008-quatrieme-seance.html"> [REC],</a> mais qui n'est pas un remake de<a href="http://talkingwade.blogspot.com/search/label/REC%202"> [REC 2], </a>ça vous tente? <em><strong>John Pogue</strong></em> l'a fait, en écrivant et réalisant un film basique qui ne s'encombre pas de réalisme, mais qui propose un récit bourrin bien mené. En déplaçant le problème du virus dans un avion (seulement pour 15 minutes!) et dans un terminal d'aéroport, John Pogue, qui avait écrit <strong>US Marshals,</strong> <strong>The Skulls- Société secrète</strong> ou encore <strong>Le Vaisseau de l'Angoisse</strong>, donne une petite bouffée d'air à la saga (puisque c'en est une, finalement!) après un premier volet inutile.</div><br /><div>Son film mise sur une efficacité frontale grâce à des infectés motivés, dont un premier king size qui vaut le détour. Construit comme une série B, voire Z, classique, <strong>En Quarantaine</strong> <em><strong>2 </strong></em>ne fait pas dans la finesse, mais déroule un récit linéaire basé sur la simple survie du plus grand nombre. </div><br /><img style="TEXT-ALIGN: center; MARGIN: 0px auto 10px; WIDTH: 273px; DISPLAY: block; HEIGHT: 166px; CURSOR: hand" id="BLOGGER_PHOTO_ID_5570928115901071618" border="0" alt="" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgcRhvntF35th-4qtaNLskGg75tFe5d3wi1geFm-55rYBHwQefTzTpHypUIVkYiHQlB_nkJuoV3ftFJZ6mDza_rZTrOUXtCZfGytIcSK10k7EwcH4N_sVSbpX9KCnOP8jikQsNQHSVsVxU/s320/1296172348_quarantaine_2.jpg" /><br /><div><em><strong>Jenny</strong></em>, jeune hôtesse de l'air, va devoir gérer l'infection qui se déclare en plein vol, et va être enfermée dans un terminal avec d'autres passagers. Comme dans le 1er film (et dans l'original), le bâtiment se retrouve scellé et les personnes à l'intérieur menacées de mort si elles tentent de franchir le périmètre, les autorités craignant que le virus soit le même que celui ayant ravagé l'immeuble du premier opus. Les survivants vont devoir lutter entre eux, gérer la panique et échapper aux contaminés, qui oublient toute notion d'humanité pour assouvir leurs instincts de carnage. </div><br /><div><strong>En Quarantaine 2</strong> ne fera pas date dans l'histoire du cinéma, mais John Pogue se débrouille pour nous offrir une série B efficace, traversée par quelques moments de tension et quelques scènes gores sympathiques.</div></div><br /><p><img style="TEXT-ALIGN: center; MARGIN: 0px auto 10px; WIDTH: 179px; DISPLAY: block; HEIGHT: 230px; CURSOR: hand" id="BLOGGER_PHOTO_ID_5570927921315666002" border="0" alt="" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhkd3xAjNOXh27JO_JsvMWx-4ZeA2a_MfIfkcVs_7hZirw8HBlLUBSKoByuzP4-eq6jAHIHROS0bxR96dwPo0tsma30YPtFj93FT53Avxw-xXIPaJwtnwI5byhIOT5Rx0ao8SMvyLBlR8g/s320/affiche.jpg" /></p><p></p></div>Wade Wilsonhttp://www.blogger.com/profile/11405121560537950316noreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-1902088448562088445.post-38995230518641584062011-02-06T10:55:00.010+01:002011-02-06T19:25:41.466+01:00GERARDMER 2011, 6EME SEANCE: MIRAGES<div><div><div><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEiYkaS-jOHI_-VhWUsw-VKa8IxV6nTO7FZVUGDs2roLOM_tked6cdOZTj1jnyv4ecF2hTejalmUyS3VOrmKgBaVq2cy9mDM5XkV92OmRZg9QQNC7p_FUkXz7W0yThoMe-hGuF7kSWxmk14/s1600/mirages.jpg"><img style="MARGIN: 0px 10px 10px 0px; WIDTH: 115px; FLOAT: left; HEIGHT: 171px; CURSOR: hand" id="BLOGGER_PHOTO_ID_5570643293198216706" border="0" alt="" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEiYkaS-jOHI_-VhWUsw-VKa8IxV6nTO7FZVUGDs2roLOM_tked6cdOZTj1jnyv4ecF2hTejalmUyS3VOrmKgBaVq2cy9mDM5XkV92OmRZg9QQNC7p_FUkXz7W0yThoMe-hGuF7kSWxmk14/s320/mirages.jpg" /></a><br /> Inédit<br /><div><br /><br /><div>Toujours en compétition, <strong>Mirages</strong> est un 1er film marocain du réalisateur<em><strong> Talal Selhami</strong></em>, dont le titre passe-partout cache un pitch plutôt accrocheur: 5 personnes désireuses d'entrer dans la société <em><strong>Matsuika</strong></em> vont devoir passer un test dans un endroit inconnu. Pour cela, elles prennent place dans un bus sans vitres, et vont se retrouver en plein désert après un accident, alors que le chauffeur a mystérieusement disparu...</div><br /><div>Si le film de genre marocain n'avait jusqu'alors pas traversé la Méditerranée, on peut comprendre pourquoi au vu de l'aspect très télévisuel du début, qui ressemble à s'y méprendre à une sitcom sans ambition. Heureusement, l'image s'améliore par la suite, grâce aux immensités désertiques où se déroule l'action, mais l'aspect théâtral reste très ancré, et se ressent trop dans le jeu des acteurs.</div><br /><img style="TEXT-ALIGN: center; MARGIN: 0px auto 10px; WIDTH: 214px; DISPLAY: block; HEIGHT: 134px; CURSOR: hand" id="BLOGGER_PHOTO_ID_5570643164974258066" border="0" alt="" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEi4SdFESSR3-wpaBrc7LYw7T19CdzWKurTOZRpEgePXga2z4EjnaOMRMqk6CfEnSP6EZ5ag5EAMPfcoC8LgoSwOw1i7jBAi4b4ylToid0Z-F8BsQ68YviJ52xBJg3JKTbJNzsXhyphenhyphenUjx95A/s320/o-trailer-debut-talal-selhami-s-mirages.jpg" /> <strong>Mirages </strong>est une promesse de fantastique maladroite qui ne parvient pas à trouver sa personnalité et qui singe à plusieurs reprises le cinéma américain. Le plan de l'araignée sur sa toile avec à l'arrière le groupe qui progresse dans le désert renvoie par exemple au plan de <strong>La Colline a des Yeux</strong> avec son lézard sur le rocher, plan hyper-classique du cinéma d'horreur, mais dénué de toute substance dans <strong>Mirages</strong>.<br /><div> </div><div>Le film de Talal Selhami tourne en roue libre, et repose beaucoup sur ses acteurs, dont <em><strong>Karim Saidi </strong></em>qui connaît bien le désert depuis <strong>Djinns</strong>. Long et poussif, <strong>Mirages </strong>s'encombre en plus d'une trame fantastique qui ne fonctionne pas, mais c'est difficile d'en parler sans spoiler. Disons que les mirages n'ont pas le même impact sur tous les protagonistes, et que certains sont privilégiés...</div><br /><img style="TEXT-ALIGN: center; MARGIN: 0px auto 10px; WIDTH: 137px; DISPLAY: block; HEIGHT: 180px; CURSOR: hand" id="BLOGGER_PHOTO_ID_5570642939007845090" border="0" alt="" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgDWSFKGnHhacroA5dYDQKAIOjD5NuaoV3YqwL2651L8VVOIaw1wMub9HfYiScwzOrgKIo8Ig48VJQ55VsvPVk6kaF_2vDf048MdqLL4wt3aR3WVzsooHQpbOqh1Pwd0OzSnrGVnSzScJs/s320/MIRAGES_fiche_film_200.jpg" /> </div></div></div></div>Wade Wilsonhttp://www.blogger.com/profile/11405121560537950316noreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-1902088448562088445.post-35645639756838103242011-02-05T13:08:00.010+01:002011-02-05T13:43:42.307+01:00GERARDMER 2011, 5EME SEANCE: DREAM HOME<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEirgVqJDloKCLlzA9HYOj00wNxtdO4NpKEO4tVRcBCfe2yHwlyWZ26E8k-Pw8b-6oIo_YgdhdBluyaEM82fzj5gqRcZ9JRhGpM4gvDBq_LQoSh-gSoavsR6S8FShyedU_RYWOhYug-ZH54/s1600/DreamHomePoster.jpg"><img style="MARGIN: 0px 10px 10px 0px; WIDTH: 152px; FLOAT: left; HEIGHT: 213px; CURSOR: hand" id="BLOGGER_PHOTO_ID_5570182806212883074" border="0" alt="" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEirgVqJDloKCLlzA9HYOj00wNxtdO4NpKEO4tVRcBCfe2yHwlyWZ26E8k-Pw8b-6oIo_YgdhdBluyaEM82fzj5gqRcZ9JRhGpM4gvDBq_LQoSh-gSoavsR6S8FShyedU_RYWOhYug-ZH54/s320/DreamHomePoster.jpg" /></a><br /><div><div><div>Sortie en DVD le 5 avril<br /><br /><br /><br /><div>On revient à la compétition officielle avec <strong>Dream Home</strong>, 9ème film du cinéaste hong-kongais <em><strong>Ho-Cheung Pang</strong></em>, qui nous offre un film certes bancal mais traversé de fulgurances sanglantes hallucinantes! <em><strong>Cheng Lai-Sheung</strong></em> est une jeune femme qui a toujours voulu posséder un appartement avec vue sur la mer à Hong Kong. Mais la situation immobilière est en pleine crise, et les prix des logements sont exorbitants, et elle devra recourir à d'autres moyens pour concrétiser son rêve d'enfance...</div><br /><img style="TEXT-ALIGN: center; MARGIN: 0px auto 10px; WIDTH: 263px; DISPLAY: block; HEIGHT: 155px; CURSOR: hand" id="BLOGGER_PHOTO_ID_5570182739431792338" border="0" alt="" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEifXFJLp21tYS-vA-_Zug_qdkGc_DKijCXL8O8GggbrcyPrKn4IS9Tq6VUC8Zx-RvA26mib5p04U7FTT5wkg4MnMXKEM5arRc7Nw4Xx9B6GWgXDOLmbonvpt1DHF8AdNQ7bnCyuHPwpXjU/s320/dream-home-stills-01.jpg" /><br /><div>Si elle est nécessaire à la mise en place de l'intrigue, la toile sociale est tout simplement plombante. Les difficultés de Cheng pour réunir les fonds, les flashback sur son enfance pas toujours facile, cela fleure bon le film social avec un maximum de lieux communs. Mais Ho-Cheung Pang va proprement dynamiter tout cela dans les scènes de meurtres qu'il propose, grâce à une inventitité rarement égalée et une mise en scène très inspirée. La torpeur des séquences sociales est alors contrebalancée par une violence frontale hors du commun, qui nous gratifie de meurtres gores d'une beauté graphique indéniable. Il n'y a qu'à voir comment est utilisé un aspirateur pour se rendre compte de l'originalité du propos...</div><br /><img style="TEXT-ALIGN: center; MARGIN: 0px auto 10px; WIDTH: 264px; DISPLAY: block; HEIGHT: 177px; CURSOR: hand" id="BLOGGER_PHOTO_ID_5570182625649715074" border="0" alt="" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgkibzew0oIpCOi6odXvYTTiu1EKTL1sd6Mui1VumIJkYeDB7yBf85U1ChqRc4FCNMRHGa_PqFXruHpsmgpLOJGqYXCFJ_9um84fjMcNEc4kO-aoCl69BVi4ooZFQXO8bk82VssKE1lV-M/s320/dream-home-2.jpg" /><br /><div>Pang s'immisce donc dans la fameuse <em><strong>Catégorie III,</strong></em> zone de permissivité chère à Hong-Kong et qui correspond grossièrement à une interdiction aux moins de 16 ans. Les oeuvres qui y entrent se dédouanent de toute censure, et les metteurs en scène peuvent laisser libre cours à toutes leur inspiration et/ou déviance, les résultats étant souvent extrêmes.</div><br /><div>Mais<strong> Dream Home</strong> s'avère au final un film frustrant, car la dualité entre ses deux ambiances crée un déséquilibre; les scènes de meurtres en ressortent d'autant plus fortement, mais il est dommage qu'elles soient noyées dans cet aspect social trop soporifique. La narration oscille entre présent et passé, et la structure éclatée du récit correspond parfaitement à l'esprit perturbé de Cheng. La scène centrale, que l'on découvre par petits bouts, est un modèle de violence jouissive traversée par un humour inattendu, qui en fait l'un des plus beaux morceaux de bravoure visuels que l'on ait pu découvrir dans un film gore. </div></div><br /><p><img style="TEXT-ALIGN: center; MARGIN: 0px auto 10px; WIDTH: 265px; DISPLAY: block; HEIGHT: 177px; CURSOR: hand" id="BLOGGER_PHOTO_ID_5570182492940959314" border="0" alt="" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhO2ZhbdxrR9DqlO7md2apKbvPppHg_9afaUEL0mxjZmAm5G8TQx4wRCDchVzKFhgQlvMm0KJqtPlWkKuBTxj3r2nkbp_PdDIDY5NqUozgOQN3lOhv7xAtVcoLdeAGiZRlcXjSxC2SrVmY/s320/dream-home-de-ho-cheung-pang-10281662bwgxc.jpg" /></p><p></p></div></div>Wade Wilsonhttp://www.blogger.com/profile/11405121560537950316noreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-1902088448562088445.post-91253499410602092172011-02-04T18:20:00.010+01:002011-02-04T18:49:23.079+01:00GERARDMER 2011, 4EME SEANCE: HEARTLESS<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEiJVc5gt__umMTno9oLpxV1b9r1HDe8BWrfFIIQAKGTg80XIT2iwyZ5XJGS39pmL_K20oSZ3EYsLrslB2iAU85R3C_6E9o63WLBglvAVMEhWQfBFFkPq68dz-peHzUlVf_WO30v66z1e-Y/s1600/heartless.jpg"><img style="MARGIN: 0px 10px 10px 0px; WIDTH: 128px; FLOAT: left; HEIGHT: 189px; CURSOR: hand" id="BLOGGER_PHOTO_ID_5569891403192369138" border="0" alt="" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEiJVc5gt__umMTno9oLpxV1b9r1HDe8BWrfFIIQAKGTg80XIT2iwyZ5XJGS39pmL_K20oSZ3EYsLrslB2iAU85R3C_6E9o63WLBglvAVMEhWQfBFFkPq68dz-peHzUlVf_WO30v66z1e-Y/s320/heartless.jpg" /></a><br />Inédit<br /><br /><br /><br />2 ans déjà que ce film anglais a été produit, et il concourt donc logiquement dans la catégorie <em><strong>Inédits Vidéo</strong></em>. Connu pour son <strong>Darkly Noon</strong> avec <em><strong>Viggo Mortensen</strong></em> et <em><strong>Ashley Judd</strong></em>, <em><strong>Philip Ridley</strong></em> revient au cinéma après un silence de 14 ans, et nous convie à une virée dans les bas-fonds londoniens peuplés de créatures démoniaques.<br /><br />Egalement auteur du scénario, Ridley met en scène <em><strong>Jamie Morgan</strong></em>, jeune homme introverti doté d'une tache de naissance qui lui dévore la moitié du visage. Adepte de la photographie, il va découvrir une réalité terrifiante dans les rues nocturnes, et sera confronté à des ennemis aussi mystérieux que dangereux. Sur le papier, le programme est sacrément alléchant avec sa touche mystique et cette vision du Mal à l'état pur. L'entame du film, avec sa mise en scène stylisée, est plutôt engageante. Le travail sur la lumière et les cadrages collent parfaitement aux obsessions visuelles de Jamie, et l'on est se dit que l'on va entrer progressivement dans une histoire captivante.<br /><br /><img style="TEXT-ALIGN: center; MARGIN: 0px auto 10px; WIDTH: 270px; DISPLAY: block; HEIGHT: 152px; CURSOR: hand" id="BLOGGER_PHOTO_ID_5569891317822528498" border="0" alt="" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjnqZyDTbPHGwSFNsIKcoDtm3Xek1GlhbmBwLWQfAYPlWZGN5OLIDxR8C6Se3x1iOKJW9vWEeZioy2ejQ6deRsP7BWq9iuV9fwUORGMg-cj7gSafVRCybbO5Jwj7mp2195N5VOBaNM2X-Y/s320/heartless1.jpg" /><br />Mais le réalisateur cède peu à peu du terrain, et son récit s'encombre de stéréotypes et de lieux communs qui dénaturent la mise en place de départ. Cela se fait sentir dès les premières scènes où la musique devient trop importante, et qui semblent n'être q'un moyen d'officialiser une BO. On voit Jamie errer dans les rues à la manière d'un clip, sans que cela ait une incidence ou la moindre portée dramatique sur le récit. Cet aspect superficiel est évident, et marque la bifurcation du métrage vers des territoires redondants...<br /><br /><div><img style="TEXT-ALIGN: center; MARGIN: 0px auto 10px; WIDTH: 288px; DISPLAY: block; HEIGHT: 162px; CURSOR: hand" id="BLOGGER_PHOTO_ID_5569891129000205602" border="0" alt="" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEg94s-3KBgm9mYmoQszU-3PBvM4WldsoBbbAoq2c_fMlXiXyanuJvELbKdr6S-iZmQWljPSUbYJqSnFtELR3oZ45QUuH708z25aaoMi9BSoDY-qbhHLcFsqt_ujwPLS2cDb28HOlrDxvkI/s320/heartless08.jpg" /></div><br /><div>Le gros problème du film est son traitement de l'explication démoniaque, en mettant en scène un personnage terriblement ridicule qui va plomber la crédibilité du récit. Dès lors, les promesses de départ restent caduques, et l'on assiste à un propos pesant qui trouve une résolution peu convaincante. La partie bluette n'est pas pour arranger les choses, même si l'on retrouve avec plaisir <em><strong>Clémence Poésy</strong></em>, qui depuis <strong>Harry Potter et la Coupe de Feu</strong>, poursuit une carrière internationale, puisqu'elle a participé au <strong>127 Heures</strong> de <em><strong>Danny Boyle</strong></em>.</div><div> </div><div><strong>Heartless</strong> se perd finalement dans des méandres faustiens sans intérêt et sans surprise, et c'est bien dommage après un début prometteur...</div><br /><div></div><img style="TEXT-ALIGN: center; MARGIN: 0px auto 10px; WIDTH: 261px; DISPLAY: block; HEIGHT: 158px; CURSOR: hand" id="BLOGGER_PHOTO_ID_5569890994337700498" border="0" alt="" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEj0OQmNQ_1HWpBP4g5WohaejfsmODhQHfT0AIWtNfYiQgr7U4KhWhIpFNH3UgfsZxCeA8iSvgkkJ5JOoKynvjNzxpxYgrkdPclIlSMdyGHuGyzs0Et9MbXu-UPyUDc-fulcVXepTD5Ztl0/s320/heartless-ridley-horror-006.jpg" />Wade Wilsonhttp://www.blogger.com/profile/11405121560537950316noreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-1902088448562088445.post-11505730113652514502011-02-03T19:38:00.011+01:002011-02-03T20:05:19.383+01:00GERARDMER 2011, 3EME SEANCE: THE UNFORGIVING<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEh-iJq95kM2OdYYVmO7qWwq6J9pTkHRMH6AN2NlI8OEo79fFgpgouCqNoYVZdhSGWyrbMESSTRe9ZhMAcXS1yyMEhsliY6R93wVZXWJ4fEoHRdodq5xBJP6gDZpS146WbMtEXdaAGBDgIU/s1600/the-unforgiving-affiche.jpg"><img style="MARGIN: 0px 10px 10px 0px; WIDTH: 140px; FLOAT: left; HEIGHT: 192px; CURSOR: hand" id="BLOGGER_PHOTO_ID_5569539772866692594" border="0" alt="" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEh-iJq95kM2OdYYVmO7qWwq6J9pTkHRMH6AN2NlI8OEo79fFgpgouCqNoYVZdhSGWyrbMESSTRe9ZhMAcXS1yyMEhsliY6R93wVZXWJ4fEoHRdodq5xBJP6gDZpS146WbMtEXdaAGBDgIU/s320/the-unforgiving-affiche.jpg" /></a><br /><div><div><div>Inédit<br /><br /><br /><br /><div>Pour son premier film, le Sud-Africain <em><strong>Alastair Orr</strong></em> cumule les casquettes de monteur, producteur, scénariste et réalisateur, pour nous livrer une oeuvre fonctionnant sur le mode du flash-back et sur le principe du twist, ce qui est très à la mode depuis le premier <strong>Saw</strong>.</div><br /><div>Un homme et une femme ont été retrouvés en pleine campagne sud-africaine, et sont les seuls survivants d'un massacre. Au fil des interrogatoires auxquels ils sont conviés, on revient sur la scène de crime et on découvre progressivement la nature des événements. Cette narration éclatée s'avère volontairement confuse, et oblige le spectateur à bien suivre les événements afin de rassembler les morceaux de ce puzzle morbide.</div><br /><div></div><img style="TEXT-ALIGN: center; MARGIN: 0px auto 10px; WIDTH: 285px; DISPLAY: block; HEIGHT: 152px; CURSOR: hand" id="BLOGGER_PHOTO_ID_5569539310146551218" border="0" alt="" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEj_t201_hwvlOWmHr224ZA2GtJlFws8lM2w22bfNO7VFofT7jbmKt3iuboPV9x_5KsfGf_MY7mjgvtvMqLPpFmKw7_GK0lwk-9uTWrgRLIG4KMa5RxelwlsBMDciVgW3miFo2YSxXFUWRU/s320/580_1404_19_9dcaf_working.jpg" /><br /><div>Alastair Orr cède aussi à la mode de la shaky cam, procédé finalement pas gratuit qui souligne la tension des protagonistes et offre une approche plus réaliste. Son montage alterne souvent les gros plans avec des inserts, comme pour coller au plus près des personnages tout en restant dans une certaine urgence. La photographie lumineuse de<em><strong> Craig Maarschalk</strong></em> parvient paradoxalement à donner une consistance froide aux décors ensoleillés, grâce au décalage entre l'action et le lieu.</div><div></div><div></div><div>L'aspect ludique du métrage consiste bien sûr à essayer de déterminer le cours des événements, et le scénario d'Alastair Orr s'avère bien ficelé, malgré quelques cheveux trop tirés. L'apparence du tueur colle vraiment bien avec l'affiche du festival, puisqu'il revêt un masque à gaz du plus bel effet! </div><br /><div><strong>The Unforgiving</strong>, qui était sélectionné dans la catégorie <em><strong>Inédits Vidéo</strong></em>, est donc efficace, grâce à une violence réaliste et une ambiance tendue, ce qui est plutôt bien pour un coup d'essai!</div></div><br /><p><img style="TEXT-ALIGN: center; MARGIN: 0px auto 10px; WIDTH: 252px; DISPLAY: block; HEIGHT: 158px; CURSOR: hand" id="BLOGGER_PHOTO_ID_5569539080588395570" border="0" alt="" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEi5SPFZJ5RgwpZxW1gOa0NmiTSphyphenhyphenzkvoBKh7JsybfkMuWSsntkOZtpV0LvIWHC_Fgi47WV_PXKaezugVNkllHlM3FskChZxcq6mL0zT7GDwltf0Og48I5R4tgLr0S3Y6GpzrGDGdZWzTM/s320/The-Unforgiving-28908.jpg" /></p></div></div>Wade Wilsonhttp://www.blogger.com/profile/11405121560537950316noreply@blogger.com0